Pour nous inciter à prendre l’air, Monique / Bidouillette / Tibilisfil nous a proposé de faire une photographie de quelque chose de rond dans un rayon de 500 m de chez nous… J’ai d’abord pensé retourner faire une photographie de la rotonde de l’ancienne chambre de commerce de Poitiers, mais un tour sur Mappy me dit que je suis à plus de 900m. Je refais donc virtuellement le trajet de chez moi (sortie haute, rue Saint-Hilaire) et le bureau (1,9 km, qu’il dit…), et voit que 500m, cela tombe un peu avant l’église Saint-Porchaire…
Ce matin au retour du marché, à 11h, le ciel s’est dégagé de la brume matinale, il fait encore frisquet… À 150 mètres environ de chez moi, je fais une halte sur le chevet de l’église Saint-Hilaire (montré ici avec une autre photographie)… C’est du tout rond, non? Je vous invite à suivre les liens pour avoir plus d’informations sur ces éléments que je vous ai déjà montrés…
Edit de samedi 29 à 23h: j’étais en retard la semaine dernière (et oui, samedi à Paris, festival télérama, festival de la BD d’Angoulême, conférence, etc.), mais là, je suis presque en avance: je n’avais pas encore lu le thème de la nouvelle semaine… un édifice religieux à 500m! Cette photo comptera pour les deux, LOL!
Mais je pensais surtout au jardin anglais du parc de Blossac, et notamment au massifs tout en rondeur et au fond de l’image, le petit coin cosy, les feuilles tomberont au printemps, quand les nouvelles feuilles pousseront… Vous ne le voyez pas? Il est au centre tout au fond…
En m’approchant, je passe à côté de fontaine aux amours et aux nymphes, de Durenne, encore un peu givrée…
Et voilà, l’intérieur de ce petit espace tout rond… avec au centre (et au premier plan,… mon ombre!). Au centre, le Faune soufflant dans une corne, de Durenne, que je vous avais montré avec une photographie de début d’été…
On ressort de l’autre côté… Au premier plan, vous voyez le monument au comte de Blossac, par Raymond Sudre, qui a été nettoyé depuis mon article, et le massif de bambous a été enlevé… la pelouse n’a pas encore repoussé à cet endroit. Au fond, tout blanc aussi maintenant, le lion amoureux par Étienne Hippolyte Maindron, espérons que les autres sculptures, à l’entrée du parc, que je ne vous ai jamais montré tant elles sont salles, seront à leur tour nettoyées au printemps…
Alors, Monique / Bidouillette / Tibilisfil, mission accomplie pour ce premier défi?
Ah, pour les copines, hier, journée au festival de la BD d’Angoulême, aujourd’hui, j’ai profité du soleil pour une grande promenade (après la séance photo), alors, je passerai lire vos articles des trois derniers jours ce soir…
Pour aller plus loin : voir l’article de Grégory Vouhé, Édouard André, jardins pour Poitiers, L’Actualité Poitou-Charentes n° 96, avril 2012, p. 42-44.