Aujourd’hui [7/10/2016], je vous emmène au Muséum d’histoire naturelle à Paris, ou plutôt sur la façade de l’un des bâtiments (galerie d’Anthropologie) rue Buffon. J’ai pris ces photographies en juin 2014… je passerai voir lors d’une prochaine visite à Paris si quelque chose a été fait pour restaurer cette sculpture ou si les sangles sont toujours là. Je ne suis pas sûre d’avoir le temps d’aller voir ce qu’il en est ce week-end.
[PS du 11/10/2016 : les sangles sont toujours en place… juste un peu plus sales! Le provisoire peut durer longtemps au Muséum… Et pour mes fidèles lecteurs, je suis encore en vadrouille quelques jours, au Pays basque, reprise des articles à mon retour].
Elle porte la signature J. Coutan 1900, pour Jules Coutan (Paris, 1848 – 1939), prix de Rome en 1872, artiste dont je vous ai déjà parlé au sujet du monument aux morts de 1870-1871 à Poitiers et de la tombe de la famille Herbette dans le cimetière du Montparnasse à Paris. Le plâtre monumental (hauteur 5m35 ; largeur 3m05 ; profondeur 1m2) a été commandé en 1893 et terminé en 1900 d’après la notice du musée d’Orsay où il se trouve sous le titre Les chasseurs d’aigles. Commandé par l’État, le tirage en bronze, réalisé par Denonvilliers, a été présenté sous le titre Les races humaines, sans doute pour être en accord avec la galerie d’Anthropologie! Mais la tenue des chasseurs – l’un nu, les autres vêtus de peau de bête – et leurs armes – arc rudimentaire, pierre, massue – explique aussi ce changement de titre sans remous… Autre époque! Je ne l’ai pas trouvé dans les Catalogues des artistes français (j’ai contrôlé 1893 à 1901).
Si l’un des aigles est bien blessé par une flèche…
… et un aiglon semble mort (désolée, le point s’est fait sur la sangle et pas la sculpture…)…
… le troisième aigle est bien vaillant et attaque les trois chasseurs !
Tout en bas, l’archer, nu, est accroupi à l’affût, armé d’un arc rudimentaire avec de grosses flèches.
Le chasseur du haut se protège le visage avec le coude gauche et une branche de bois – même pas un gourdin – qu’il brandit de la main droite. Il a les cheveux couverts d’une peau de bête qui lui retombe dans le dos.
Cabré en arrière, le troisième chasseur, dont les yeux sont visés par l’aigle survivant, brandit une simple pierre de la main droite. Il est vêtu d’un pagne en fourrure…
… mais comble du raffinement ;-), il porte des guêtres, enfin, des bandes de fourrure maintenue par des bandes molletières!
Photographies juin 2014 et octobre 2016
Sur les hauteurs de Metz, entre les fortifications (qui font largement office de décharge sauvage) se trouve le monument aux « Hommes de fer de Metz ». De face, on voit un cube qui porte une plaque commémorative et un aigle posé sur un socle qui adopte la forme de la pente. Sur ce socle, on peut lire l’inscription suivante :


Ça y est!!! J’ai terminé mon aigle Navajo, long à broder avec tous les changements de couleurs, mais le rendu me plaît beaucoup! Et voici mes deux projets commencés en janvier (revoir
Voici une vue de l’ensemble. Il s’agit d’un kit De fil en image,
Je pensais réussir à terminer mon aigle Navajo, mais il reste encore quelques dizaines de points et pas mal de changement de couleurs pour le terminer… ce qui devrait être chose faite la semaine prochaine…
Voici une vue de l’ensemble. Il s’agit d’un kit De fil en image,
Je vous ai déjà montré les œuvres contemporaines qui étaient présentées pendant l’été 2012 dans le jardin botanique à Montigny-les-Metz (une demi-heure à pied du centre ville de Metz en passant par le canal de la Moselle). On aperçoit d’ailleurs au deuxième plan de la photographie les grands personnages blancs de
Ce groupe porte la signature et la date « Fratin 1852 ». Il s’agit de Le triomphe de l’aigle, un modèle en plâtre présenté par Christophe Fratin (Metz, 1801 – Le Raincy, 1864) sous le n° 1397 au salon des artistes français, commandé par l’État en 1852 et attribué en 1856 à la ville de Metz. Ce groupe a d’abord été installé sur l’esplanade, avant d’être déménagé au jardin des plantes en 1890. Je vous montrerai bientôt une autre œuvre du même artiste à Metz, un 

Cette semaine, j’ai pas mal avancé mon aigle navajo… Je ne sais pas si je le terminerai la semaine prochaine ou la suivante… Il reste quand même de nombreuses croix et changements de couleur. à suivre!
Voici une vue de l’ensemble. Il s’agit d’un kit De fil en image,
Entre le
Voici une vue de l’ensemble. Il s’agit d’un kit De fil en image,
J’ai mis les quelques points qui manquaient dans la moitié inférieure et me suis reposée des changements incessants de couleur en brodant le motif décoratif du fond sur la droite. Ça fait du bien, de ne pas changer de couleur à chaque point ou presque! Je vais maintenant attaquer la suite de la moitié supérieure. Il faut rester bien concentrée, avec tous les changements de couleur, mais le résultat me plaît beaucoup!
Voici une vue de l’ensemble. Il s’agit d’un kit De fil en image,
Il ne me reste plus que quelques points ici et là pour terminer la moitié inférieure de mon aigle Navajo, ainsi que le décor « ethnique » sur la droite… Ensuite, j’attaquerai la suite de la moitié supérieure. Il faut rester bien concentrée, avec tous les changements de couleur, mais le résultat me plaît beaucoup!
Voici une vue de l’ensemble. Il s’agit d’un kit De fil en image,
Cette semaine, j’ai quasiment terminé les serres de mon projet d’aigle Navajo, le bas de l’aile est presque terminé et le dessous du corps prend forme…
Voici ce que donne l’ensemble. Il s’agit d’un kit De fil en image,