Archives de catégorie : Lecture / autres

Toutes mes lectures, à l’exception des bandes dessinées et des livres écrits par des prix Nobel de littérature, classés à part.

L’homme à la canne grise de Michèle Gazier

Couverture de L'homme à la canne grise de Michèle Gazier

pioche-en-bib.jpgUn livre trouvé parmi les nouvelles acquisitions de la médiathèque.

Le livre : L’homme à la canne grise de Michèle Gazier, collection cadre rouge, éditions du Seuil, 2012, 138 pages, ISBN 9782021064452.

L’histoire : août 2012, dans une maison de retraite. Le père de la narratrice, aveugle et atteint de la maladie de Parkinson, décède. L’occasion pour elle d’évoquer la vie de celui-ci, né en France de parents espagnols, qui a participé à la guerre d’Espagne sans en parler vraiment à son fils et à sa fille, puis résistant en Lozère. La mère, toujours malade, lui, qui voit mal à la suite d’un accident de travail, la compagne rencontrée après plusieurs années de veuvage.

Mon avis : un récit autobiographique comme un long cheminement du deuil facilité par la reconstruction des souvenirs proches et lointains avec son père. Également, sans que cela soit clairement dit, une quête des origines espagnoles, de la guerre d’Espagne dont ce père ne parle pas mais qui a laissé des traces, par exemple lorsqu’il nettoie les plaies de son fils. Par petites touches, sans ordre chronologique, plutôt dans l’ordre où les souvenirs resurgissent, Michèle Gazier retrace la vie de son père pour réussir à lui dire adieu…

Nul n’est à l’abri du succès de Pascal Garnier

Couverture de Nul n'est à l'abri de Pascal Garnier

pioche-en-bib.jpgUn livre trouvé parmi les nouvelles acquisitions de la médiathèque.

Le livre : Nul n’est à l’abri du succès de Pascal Garnier, éditions Zulma, 2012 [première édition en 2001, l’auteur est décédé en 2010], 145 pages, ISBN 978-2-84304-576-9.

L’histoire : à la fin des années 1990, à Paris, La Châtre puis Lille. Jusque là, Jean-François Colombier, la cinquantaine, avait publié des livres sans grand succès. Quand il reçoit un célèbre prix littéraire, il est le premier étonné. Au cours d’une séance de dédicace dans une librairie de province, il rencontre Ève, 25 ans. Quelques mois plus tard, le voilà marié, mais deux ans après, il fugue, rejoint à Paris son fils qu’il ne voit que de loin en loin… et le voici embarqué avec lui, après un trajet en voiture, dans une nuit lilloise étrange…

Mon avis : un très court roman, ou plutôt une longue nouvelle, vite dévorée (150 pages, dont beaucoup de pages blanches entre les chapitres…), menée à un rythme soutenu. J’ai beaucoup aimé ce ton plein d’humour noir et d’autodérision de l’écrivain, son retour sur sa vie, les relations à son fils, conçu très jeune pour une nuit d’amour qui s’est terminée en mariage et presque aussi vite en divorce. Et voici finalement le fils dealer qui donne de la drogue à son père… Un texte à découvrir! Après Opium Poppy et Palestine de Hubert Haddad, je m’aperçois que j’aime assez les choix de cet éditeur, il faudra que j’en lise d’autres…

La marche de Mina de Yoko Ogawa

Echange de marque-page 2012, 3, cadeau reçu

J’ai fini le livre reçu de la part de Nini 79 dans le cadre de l’échange dans le cadre de l’échange livre et marque-page organisé par Emmanuelle / le Marquoir d’Élise [revoir la finition du marque-page avec des boutons brodés que j’ai envoyé à Pierrette / Le Terrier de Marmotte].

Le livre : La marche de Mina de Yoko Ogawa, traduit du japonais par Rose-Marie Makino-Fayolle, collection Babel, n° 1044, éditions Actes sud, 2011, 316 pages, ISBN 978-2-7427-9525-3.

L’histoire : avril 1972, Tomoko, 12 ans, doit quitter sa mère ; après la mort de son père, cette dernière part faire une formation à Tokyo et ne peut la garder avec elle. Elle l’envoie donc chez sa sœur, que la fillette n’a jamais vue, mariée au directeur d’une usine près de Kobe, qui vit avec sa mère allemande, sa fille Mina, d’un an plus jeune que Tomoko, asthmatique, une vieille servante, un vieux jardinier qui habite à l’extérieur… et une hippopotame naine qui vit dans le jardin.. Le grand frère poursuit ses études en Europe. Entre les deux fillettes se crée une grande amitié, à peine troublée par les disparitions inexpliquée de l’oncle et les crises d’asthme de Mina, agrémentée par les jeux olympiques de Munich et le suivi de l’équipe japonaise de volley-ball…

Mon avis : un roman à la première personne, dans la bouche de la petite Tomoko. Un style simple mais qui permet de découvrir deux fillettes qui s’apprivoisent, de mettre le doigt sur des secrets de famille, des scènes parfois intimistes, comme la nuit d’observation des étoiles filantes ou le repos dans une salle sous les lampes artificielles… Également un étrange breuvage fabriqué dans l’usine de l’oncle, une boisson sucrée à base d’eau chargée de radon… et sensée être bonne pour la santé!

Un grand merci à Nini 79 pour m’avoir fait découvrir ce livre!De cette auteure, j’avais déjà lu La formule préférée du professeur.

Mikaël de Herman Bang

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pioche-en-bib.jpgUn livre trouvé parmi les nouvelles acquisitions de la médiathèque.

Le livre : Mikaël de Herman Bang, traduit du danois par Elena Balzamo, éditions Phébus, 2012 (première édition en 1904, réédition pour le centenaire de la mort de l’auteur), 241 pages, ISBN 9782752905765.

L’histoire : à Paris à la fin du 19e siècle. Eugène Mikaël, un jeune homme d’origine tchèque, est modèle du peintre Claude Zoret, qui le considère comme son fils adoptif. Claude Zoret reçoit beaucoup, mais n’expose plus à Paris depuis une mauvaise critique. Mikaël accepte d’être moqué (pour ses piètres talents de peintre notamment), de voir son corps nu exposé sur la toile à tous les visiteurs, mais aussi de déjeuner chaque jour avec le maître. Un jour, une princesse russe, Lucia Zamikov, se présente au domicile du maître pour qu’il réalise son portrait… Hésitant, il accepte, mais Mikaël tombe éperdument amoureux d’elle, s’éloigne du maître, dépense de plus en plus d’argent… jusqu’à ce qu’un « ami » informe Zoret de ce qui se passe…

Mon avis : lors de l’écriture de ce livre, l’histoire était à peu près contemporaine, alors que l’auteur a habité à partir de 1893 à Paris, a fréquenté Paul Verlaine et des peintres, notamment les nabis. Ceci est important, car cette relation du peintre à son modèle, aux marchands, à ses visiteurs (amis, flagorneurs, clients potentiels), relèvent d’expériences vécues par l’auteur. Le maître qu’il choisi ne fait pas partie de l’avant-garde de la peinture, à ce qui transparaît entre les lignes, il peint des scènes mythologiques sur ses grandes toiles… mais des femmes sur ses croquis, ou plutôt des femmes représentées par des parties de corps… Les princesses russes, à cette époque et encore plus après la Révolution de 1915, ont beaucoup fréquenté Paris, certaines ont aussi été modèles de peintre (voir l’exposition sur Misia, reine de Paris, au musée d’Orsay cet été 2012, et les études sur les égéries russes au début du 20e siècle). Une belle découverte, ce livre…

L’homme arrêté de Sébastien Amiel

Couverture de L'homme arrêté de Sébastien Amiel

pioche-en-bib.jpgUn livre trouvé parmi les nouvelles acquisitions de la médiathèque.

Le livre : L’homme arrêté de Sébastien Amiel, éditions de l’Olivier, 2012, 163 pages, ISBN 978-2-87929-799-6 .

L’histoire : de nos jours dans un lieu indéterminé… Un lotissement près d’une ville avec un périphérique et un lac à une heure de route… Adam a été licencié il y a quelques mois de son emploi de réparateur d’éoliennes. Anna, sa femme, est institutrice et prépare une manifestation. C’est l’été, il fait chaud, à proximité, deux enfants viennent de mourir dans des inondations dues à un orage… Adam retrouve un petit boulot non qualifié. Le samedi suivant, il part au lac voisin avec sa femme et leur jeune fils, Martin, pique-nique, bateau pneumatique et baignade. Au fil des pages, Anna semble lointaine, se rapprocher de plus en plus d’un collègue, surtout après qu’elle et lui aient été blessé par des policiers au cours d’une manifestation…

Mon avis : la lente dérive d’un homme apparemment ordinaire, un couple dont l’un s’éloigne peu à peu de l’autre, seul le fils (et peut-être le chien?) semble maintenir la cohésion familiale. Comment dire, l’absence d’action au départ agace, on a envie d’aller plus loin, de secouer Adam, de demander à sa femme d’être plus attentive à sa famille… La dernière partie, à partir d’un drame dont je ne vous révèlerai pas qui il touche, est plus poignante. Quelques mois dans la vie d’un couple, deux heures de lecture (bon, je lis vite, comptez en plutôt trois à vitesse de lecture habituelle) pas désagréables, mais qui ne laisseront dans quelques semaines aucun souvenir, je pense…

Villa des Quatre Vents de Jean Failler

Couverture de Villa des Quatre Vents de Jean Failler

Un livre acheté à la librairie… comme toute cette série (au passage, je m’aperçois que je ne vous ai parlé ici que du tome 32, Sans verser de larmes; depuis, j’ai ajouté ma critique du tome 35, Casa del Amor et 36 Le 3e oeil du professeur Margerie).

Le livre : Villa des Quatre Vents (Marie Lester tomes 37 et 38) de Jean Failler, éditions du Palémon, 2012, 294 et 301 pages, ISBN 978-2-916248-30-1 .

L’histoire : de nos jours dans le nord du Finistère. Dans une villa cossue, le facteur découvre les cadavres d’un homme d’affaires parisien, Louis Sayzé, et de la jeune fille à qui il devait livrer un recommandé, sans doute exécutés par un tueur professionnel. A la demande de « Paris », Mary Lester est détachée de son commissariat pour s’occuper de cette affaire où la gendarmerie soupçonne une affaire d’espionnage industriel. Très vite, elle se heurte à deux officiers des Renseignements généraux, sur le parking du crématorium, ils lui conseillent de laisser tomber… avant de la retrouver quelques jours plus tard à Paris…

Mon avis : un crochet de quelques centaines de pages à Paris, cela sort ce volume double des habituelles enquêtes en Bretagne… mais cette série, si elle me plaît (et à quelques autres aussi), ce n’est pas tant pour l’intrigue policière, mais pour découvrir la Bretagne… Or dans ce volume, peu de Bretagne, et une intrigue qui traîne en longueur (pour diluer sur deux tomes???) et parfois invraisemblable (cf. arbre coupé en plein Paris pour effacer des preuves). Je suis un peu déçue…

Absolution par le meurtre de Peter Tremayne

couverture de Absolution par le meurtre de Peter Tremayne

Un livre trouvé sur une brocante, dans une des séries de Grands Détectives (10/18) que je n’ai pas encore testée… C’est le premier titre de la série.

Le livre : Absolution par le meurtre (Les enquêtes de Sœur Fidelma) de Peter Tremayne, traduit de l’anglais par Cécile Leclère, Grands Detectives n° 3630, éditions 10/18, 2004, 285 pages, ISBN 9782264033529.

L’histoire : en 664, dans le monastère de Streoneshalh. Le roi de Northumbie, Oswy, réunit le haut clergé des églises romaines et celtiques pour savoir si, en son royaume, il va adopter les rites romains ou celtiques (avec des variations sur la tonsure, le jour de Pâques, le célibat ou pas des religieux, etc.). Mais voici qu’alors qu’elle doit ouvrir le synode, l’abbesse irlandaise Étain est retrouvée sauvagement assassinée dans sa cellule. Le roi charge de l’enquête l’un de ses fidèles, Eadulf, et une religieuse irlandaise, Fidelma, amie de la défunte mais surtout spécialiste du droit. Les deux tendances (romaine et irlandaise) doivent garantir la neutralité de l’enquête… quand un second moine est retrouvé pendu dans sa cellule… Suicide d’un homme plein de remords ou nouveau meurtre?

Mon avis : pas facile de s’y retrouver au début du livre dans cette foison de personnages, de réussir à les situer dans l’une ou l’autre tendance, surtout que l’histoire de l’église anglaise et irlandaise au 7e siècle, ce n’est pas un sujet qui m’est familier. Dans d’autres séries des Grands Détectives (je pense en particulier aux séries avec Frère Cadfael ou l’enquêteur aborigène Napoléon Bonaparte), des plans ou des croquis aident à s’y retrouver, un tableau ici aurait grandement aidé à classer correctement les protagonistes dans un camp ou dans l’autre… Une fois familiarisée avec les personnages, j’ai pu mieux profiter du roman, sans être aussi séduite qu’avec d’autres séries de la collection… J’essayerai peut-être quand même un autre titre pour voir comment évolue la série…

Logo God save the livre Ce livre entre dans le défi God save the livre, saison 2, organisé par Antoni / passion livres. Il s’agit de lire un ou plusieurs livres anglais d’ici fin février 2013 et atteindre l’une de ces catégories : « Duty Harry » (1 livre lu), « Prince Charles » (5 livres), « Prince William » (10 livres), « Lady Di »(15 livres), « The Beatles » (20 livres et plus), « Queen Mom » (au moins un livre en VO)…

Tangente vers l’est de Maylis de Kerangal

Couverture de Tangente vers l'est de Maylis de Kerangal

pioche-en-bib.jpgUn livre trouvé parmi les nouvelles acquisitions de la médiathèque, j’avais beaucoup entendu parler du précédent livre de cette auteure, mais pas lu Naissance d’un pont (prix Médicis 2010). [Depuis, j’ai aussi lu À ce stade de la nuit et Réparer les vivants].

Le livre : Tangente vers l’est de Maylis de Kerangal, collection Minimales, éditions Verticales, 2012, 128 pages, ISBN 9782070136742.

L’histoire : de nos jours dans le Transsibérien. Après avoir tout tenté pour échapper au service militaire en Sibérie, le jeune Aliocha déprime dans le train et le wagon de soldat. Il tente de fuir à Krasnoïarsk, mais la provodnista, redoutée chef de wagon, et sergent Letchov, qui le prennent en tenaille, veillent et l’obligent à remonter en voiture… Au moment de remonter, il aperçoit une étrangère, Hélène, qui fuit Anton, son ami russe nouvellement nommé directeur d’une usine hydro-électrique. Aliocha va réussir à la rejoindre dans son compartiment de première classe… Échappera-t-il à l’armée?

Mon avis : à l’occasion de l’année France-Russie 2010, une quinzaine d’écrivains français ont embarqué à bord du transsibérien, Maylis de Kerangal était du voyage et en a tiré ce court roman (ou longue nouvelle? ou est la frontière?). L’ambiance du train, la terreur du jeune soldat de son affectation et du bizutage qu’il devra subir, la vie brève de Hélène aux environs de Krasnoïarsk, avec peu de mots, l’auteur réussit à décrire les lieux et les ambiances. Un récit court pour un long voyage de plusieurs jours qui aurait pu être monotone, une rencontre assez improbable, mais qui souligne l’ineptie du service militaire russe…

Le miracle de Ariel Kenig

Couverture de Le miracle de Ariel Kenig

pioche-en-bib.jpgUn livre trouvé parmi les nouvelles acquisitions de la médiathèque.

Le livre : Le miracle de Ariel Kenig, éditions de l’olivier, 2012, 153 pages, 9782879299792.

L’histoire : en 2011, à Paris surtout. Une ancienne camarade d’Ariel le retrouve grâce à Internet. Elle a des photos de Pierre Sarkozy, le DJ qui vient d’échapper par miracle à une coulée de boue le soir de la Saint-Sylvestre au Brésil… Pourrait-il négocier ces photographies dans la presse à sensation? Parano, il ouvre un faux compte sur internet et prend contact avec plusieurs magazines…

Mon avis : une grosse nouvelle plutôt qu’un roman… Et peut-on parler de roman lorsque les personnages sont ancrés dans le monde réel, Nicolas, Jean et Pierre Sarkozy, Pascale Clark, Yann Arthus-Bertrand, Stéphane Hessel, etc. peuplent ces pages? En tout cas, c’est plus un brouillon qu’un livre bien abouti, il passe d’un sujet à l’autre, perd le fil de l’histoire, vire au people sans vraiment s’attarder sur le sujet, le bling-bling est là, les dérapages de l’ancien président aussi, mais pas l’épisode de la gastroentérite de Pierre dont le Canard Enchaîné avait raconté le « sauvetage » à grands frais… Le livre étant très court, je suis allée jusqu’au bout, mais ne vous en recommande pas la lecture…

La resquilleuse de Mary Wesley

Couverture de La resquilleuse de Mary Wesley

pioche-en-bib.jpgUn livre trouvé parmi les nouvelles acquisitions de la médiathèque, il avait été chaudement recommandé comme tous les titres de cette auteure par vu pour la première fois chez Audouchoc.

Le livre : La resquilleuse de Mary Wesley, traduit de l’anglais par Michèle Albaret, éditions Héloïse d’Ormesson, 2011, 286 pages, ISBN 9782350871691.

L’histoire : dans un village anglais (non précisé) de nos jours. Matilda, la cinquantaine ou un peu plus, déprime. Elle est veuve depuis trois ans (son mari est mort à Paris dans des circonstances troubles), ses enfants sont dispersés dans le monde et ne lui rendent pas visite, son chien et son chat sont morts. Elle vient de confier son jars à un voisin, et décide de partir pour un dernier pique-nique au bord de la mer… Mais sa place habituelle est déjà occupée par des jeunes, ça lui gâche son dernier repas… et voilà qu’au bord de la rambarde, alors qu’elle attend le moment idéal pour se jeter à l’eau (quand la marée sera au plus haut), voilà que son geste est contrarié par un homme qu’elle reconnaît immédiatement, un matricide recherché depuis plusieurs jours… Elle le ramène chez lui, l’installe dans la chambre d’amis, et une étrange relation s’établit entre eux…

Mon avis : voilà un roman assez inclassable… ou comment soigner le mal de vivre en reportant son attention au soin de l’autre, même si l’autre est recherché à travers tout le pays pour le meurtre de sa mère… Sous l’humour apparent transperce la grande souffrance et aussi la grande naïveté de Matilda, qui va peu à peu ouvrir les yeux sur le monde… sa vie… et celle de son « mari adoré » finalement pas si clair que ça, voilà qui ne risque pas de lui remonter vraiment le moral! Une lecture agréable, les pages défilent à toute vitesse: comment va se terminer cette histoire hors-norme??? Bonne lecture à vous!

Logo God save the livre Ce livre entre dans le défi God save the livre, saison 2, organisé par Antoni / passion livres. Il s’agit de lire un ou plusieurs livres anglais d’ici fin février 2013 et atteindre l’une de ces catégories : « Duty Harry » (1 livre lu), « Prince Charles » (5 livres), « Prince William » (10 livres), « Lady Di »(15 livres), « The Beatles » (20 livres et plus), « Queen Mom » (au moins un livre en VO)…