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La statue de Denis Diderot à Paris

Monument à Denis Diderot par Jean Gautherin, vue généralePour rebondir sur le tricentenaire de la naissance de Denis Diderot (revoir La religieuse), né le 5 octobre 1713 à Langres et mort le 31 juillet 1784 à Paris, dont la commémoration vient de commencer à Langres justement (où se trouve une autre statue du grand homme, par Auguste Bartholdi, voir une carte postale ancienne en fin d’article), j’ai exhumé de mes photographies parisiennes celles qui concernent le monument édifié pour le centenaire de sa mort et qui se trouve aujourd’hui place Jacques-Copeau, un peu en retrait du boulevard Saint-Germain, au niveau du n° 145. Pour une biographie et autres documents sur Diderot, voir le site de la bibliothèque nationale de France.

 Monument à Denis Diderot par Jean Gautherin, carte postale ancienneLa statue se trouvait à l’origine place Saint-Germain-des-Prés. Un modèle en plâtre avait été présenté en 1884, il a été remplacé ensuite par un tirage en bronze fondu en 1885, inauguré le 14 juillet 1886 sur l’un des terres-pleins du boulevard, face à la rue Saint-Benoît.

Monument à Denis Diderot par Jean Gautherin, signature et date 1885La statue porte la signature « 1885 Jean Gautherin » (Ouroux-en-Morvan, 1840 – Paris, 1890).

Monument à Denis Diderot par Jean Gautherin, marque du fondeur Emile ColinElle porte aussi la marque du fondeur, « Émile Colin & Cie / fondeurs ».

Monument à Denis Diderot par Jean Gautherin, vue de face et de profilDiderot est représenté assis sur un fauteuil, pensif et penché en avant, tenant une plume de la main droite.

Monument à Denis Diderot par Jean Gautherin, pile de livres sous le fauteuilSous le siège se trouve une pile de livres ainsi qu’un feuillet qui semble être tombé par inadvertance.

Monument à Denis Diderot par Jean Gautherin, vue de dosSon large manteau est posé sur le dossier du fauteuil.

Monument à Denis Diderot par Léon Lecointe, carte postale ancienne, ici square d'Anvers, aujourd'hui détruitUne autre statue de Diderot se trouvait à Paris, square d’Anvers près du boulevard Rochechouart. Elle était l’œuvre de Léon [Aimé Joachim] Lecointe (Paris, 1826 – Paris, 1913). Le plâtre présenté au salon des artistes français de 1884 sous le numéro 3671 avait été acheté par la ville de Paris, fondu en 1886 et d’abord mis en place square Parmentier, aujourd’hui Maurice-Gardette. Ce monument a été fondu en 1942.

Monument à Denis Diderot par Auguste Bartholdi à Langres, carte postale ancienneEt pour comparaison, voici une carte postale ancienne de la statue de Diderot en pied par Auguste Bartholdi à Langres… et également commandée en 1884 (vue actuelle disponible sur le site de la ville de Langres).

Photographies d’octobre 2010.

La Science de Jules Blanchard devant l’hôtel de ville de Paris

La Science de Blanchard devant l'hôtel de ville de Paris, vue généraleEn vous présentant les allégories du théâtre d’Angoulême, je vous avais promis de reparler du sculpteur, Jules Blanchard (Puiseaux, 1832 – Paris, 1916 et non Clamart, comme il est dans sa fiche du musée d’Orsay), pour la Science, allégorie en bronze qui siège devant la grille de la façade principale de l’hôtel de ville de Paris. De l’autre côté (à droite quand on regarde la façade) se trouve une autre allégorie, l’Art par Laurent [Honoré] Marqueste (Toulouse, 1848 – Paris, 1920), que je réserve pour un autre article. La Science a été réalisée entre 1880 et 1882 (les sources secondaires divergent, je ne l’ai pas retrouvée dans les catalogues du salon des artistes français), elle est représentée assise, coiffée d’un chignon, torse et pieds nus, un linge masquant néanmoins ses jambes et son pubis.

La Science de Blanchard devant l'hôtel de ville de Paris, signature du sculpteurLa signature « J. Blanchard » est bien visible sur le côté.

La Science de Blanchard devant l'hôtel de ville de Paris, livres et globe terrestreLa Science est assise sur le savoir représenté (comme par exemple pour la statue de  Descartes par le comte de Nieuwerkerke à Tours) par une et un , qui ici porte les signes du zodiaque (avec la balance, ça tombe bien, c’est en ce moment ce signe).

La Science de Blanchard devant l'hôtel de ville de Paris, vue de gaucheElle tient en appui sur sa cuisse de sa main gauche une tablette et brandit de sa main droite un grand compas.

Photographies d’octobre 2011.

Théophraste Renaudot à Loudun

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, 1, vu de loin C’était fin mars 2012… j’avais inauguré mon tube de crème solaire qui n’a quasiment pas resservi depuis (sauf pour ma semaine à Toulouse)… Je commence par l’une des figures emblématiques de la ville, Théophraste Renaudot, dont je vous ai déjà parlé pour la rue Renaudot à Poitiers… Au passage, google a enfin corrigé et éliminé rue des Hautes-Treilles, de son nom d’il y a plus d’un siècle [dernière vérification 11 juin 2012, la ville avait réclamé ce changement après que je leur ai signalé l’erreur en octobre 2011].

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, carte postale ancienne, devant l'hôtel de ville Ce monument se trouve aujourd’hui devant l’hôtel de ville de Loudun, probablement non loin de son emplacement d’origine, puisque sur des cartes postales anciennes, on le voit tantôt avec en fond l’hôtel de ville…

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, carte postale ancienne … tantôt avec la caisse d’épargne qui lui fait face (à droite sur cette vue, à gauche, on aperçoit l’angle de l’hôtel de ville).

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, 2, la signature Charron et la date 1893 Il est signé et daté « ALFD CHARRON SCULP 1893 », pour Alfred [Joseph] Charron (Poitiers, 1863 – Ville-d’Avray, 1955). Cet artiste, qui a exposé au salon des artistes français de 1883, avait été l’élève de [Pierre] Jules Cavelier, Louis Barrias (voir la science et l’agriculture sur le fronton de l’hôtel de ville de Poitiers) et de Jules Coutan (voir également à Poitiers le monument aux morts de 1870-1871).

D’après sa fiche dans la base Monumen, il s’agit d’une copie à l’identique (l’original ayant été fondu comme nombre de bronzes en 1942), le modèle en plâtre patiné bronze avait été donné par l’artiste en 1895 ou 1896 au musée de Poitiers et des Antiquaires de l’ouest (ce modèle est déposé à l’hôtel de ville de Loudun depuis 1950 environ, voir sa fiche dans la base Joconde).

Le bronze original, fondu par Durenne, avait été inauguré le 12 mai 1894, inauguration relatée, d’après Monumen, le 20 mai 1894 dans le Journal de Loudun, non numérisé à ce jour [dernière vérification 11 juin 2012] par les archives départementales de la Vienne, mais, entre un jugement pour infanticide à Saint-Hilaire de Poitiers, un meurtre à Vouillé (les faits divers ne sont donc pas le monopole de la presse actuelle?) et une crise ministérielle (encore une, c’est récurrent à cette époque, avant l’affaire Dreyfus qui éclate à la fin de 1894 et qui noircit bien des pages à partir de l’année suivante), j’ai trouvé dans L’avenir de la Vienne de mai 1894 (si le lien ne fonctionne pas, faites l’interrogation à partir de la page d’accueil) toute une série d’articles intéressants:

– vues numérisées 27 (à droite) et 28 (à gauche et à droite), du jeudi 17 mai 1894, un long compte rendu de la visite d’Eugène Spuller, alors ministre de l’Instruction publique, des beaux-arts et des cultes (du 3 décembre 1893 au 30 mai 1894) dans le gouvernement Jean Casimir-Perier, aux fêtes de Loudun et à la conférence socialiste à Poitiers. Les fêtes de Loudun ont eu lieu le samedi précédent, soit le 12 mai, avec un départ en train depuis Poitiers… et de nombreuses escales en cours de route (Migné, Avanton, Neuville, Mirebeau, Moncontour, soit presque un arrêt tous les 10 km!). Sur la vue 28 sont représentées deux vues de la statue. L’artiste était présent et son œuvre est rappelée (ainsi que, auparavant, la composition des 5 voitures qui vont de la gare au centre-ville et … la sieste – enfin le repos – du ministre à 16h à la sous-préfecture), la soirée s’est terminé par un banquet… dont la presse donne, comme à son habitude à cette époque, le menu détaillé ; sans oublier le coup de griffe « M. Bazile ne récolte que cette épithète de « fumiste » qui lui convient si bien » (qui a parlé de dégradation de l’ambiance politique?);

– vue numérisée n° 31, du samedi 19 mai 1894, le point de vue d’un journaliste sur la visite de M. Spuller à Poitiers ;

– vue numérisée n° 37, du mercredi 23 mai 1894, discours de M. Spuller à Poitiers

vue numérisée n° 41, du samedi 26 mai 1894, transcription du texte du long discours prononcé à
Loudun par Eugène Spuller.

J’ai pu raté des notes intermédiaires, la consultation des scans de grand format nécessite de jongler entre différents grossissements…

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, 3, vue de trois quarts et détail du visage

Revenons au sujet du jour… Théophraste Renaudot est représenté debout, un peu plus grand que nature, sur un haut piédestal. Il est déjà âgé, le front dégarni, les sourcils broussailleux, la moustache et la barbe soigneusement taillées. Il porte une sorte de cape par dessus son habit. A sa droite se trouve une pile d’ouvrages (posés sur une sorte de lutrin à plat autour duquel s’enroule un serpent buvant dans une coupe), avec à son sommet un livre ouvert (probablement un registre) sur lequel il s’apprête à écrire de la main droite et tient de l’autre main un exemplaire de sa gazette (voir des vues de détail plus bas).

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, 4, les faces avant et droite du piédestal Sur le piédestal, à l’avant (photographie de gauche), le sujet est identifié par cette dédicace écrite en majuscules : « Théophraste Renaudot / conseiller / médecin ordinaire / et historiographe / de Louis XIII / ministre / de la charité publique / né à Loudun / en 1586″. En-dessous se trouve un médaillon en bronze sur lequel je reviendrai plus bas. Sur le côté droit du piédestal (photographie de droite) se trouve ce texte écrit en majuscules :  » J’en viens aux pauvres / l’objet de mes labeurs / et la plus agréable fin / que je me sois / jamais proposée / … me recognoissant / né au bien public / j’y ai sacrifié / le plus beau / de mon aage [SIC] / sans autre récompense / que celle dont la vertu / se paye par ses mains ».

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, 5, les faces gauche et arrière Sur le piédestal, à gauche (photographie de gauche), se lit en majuscules un hommage aux réalisations de Théophraste Renaudot,  » La France lui doit / le journal / l’office de publicité / et de renseignements / le bureau de placement / le mont de piété / l’hôtel des ventes / et sous le nom de consultations / charitables pour les malades / ce que nous appelons aujourd’hui / un dispensaire / auquel il consacra / tout son temps et toute sa fortune ».

Oups, ma photographie de dos est floue et celle de trois-quarts ne permet pas de relever la très longue inscription sur la face arrière… Il faudra que je retourne à Loudun… ou sollicite une amie qui y travaille !

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, 6, détail de la gazette et de la reconnaissance royale D’après les dictionnaires de référence, journaliste n’est pas attesté avant 1718… et c’est bien un exemplaire de sa « Gazette » et non un journal qu’il tient dans sa main gauche (détail sur la photographie de gauche).

Sur la pile de livres (photographie de droite), on peut lire, gravé dans le bronze, toujours en majuscules, « traité des pauvres » et sur une feuille déroulée, « Aujourd’hui / le 14e jour / d’octobre le / Roy désirant / favorablement / traiter Théoph. / Renaudot / le nomme / conseiller g[énéra]l / des pauvres du / royaume ».

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, 7, la pile de livres Sur les autres livres, on peut lire sur la couverture du premier « textes et nouvelles » et sur la tranche du troisième « …ais charitables ».

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, 8, le médaillon à Eugène Hatin Sur le piédestal a été apposé un médaillon dédié à « Eug[ène] Hatin historien de la presse et de Renaudot ». Eugène [Louis] Hatin (Auxerre, 1809 – Paris, septembre 1893) est notamment l’auteur de Théophraste Renaudot et ses « innocentes inventions », Oudin imprimeur, Poitiers, 1883 (à lire sur Gallica), réédité sous le titre La Maison du Grand Coq et le bureau d’adresses, le berceau de notre premier journal, du Mont-de-piété, du dispensaire et autres innocentes innovations de Théophraste Renaudot, Champion éditeur, Paris, en 1885.

Le monument Théophraste Renaudot à Loudun, 9, initiales et date 1893 sur le médaillon Il a été réalisé également par Alfred [Joseph] Charron, ainsi qu’en témoignent les initiales et la date  » 1893 A. CH. ».

Le musée Théophraste Renaudot à Loudun et sa plaque commémorative L’association des amis de Théophraste Renaudot gère dans sa maison natale (signalé par une plaque commémorative) le musée Renaudot… Si ce musée a besoin d’un « petit coup de jeune », vous pouvez aussi vous y arrêter si vous passez par là (tout au nord du département de la Vienne).

Le musée Théophraste Renaudot à Loudun, 2, le buste dans la cour Dans la cour (la photographie) et dans le musée se trouvent d’autres représentations (sculpture, gravure, reconstitution en cire) de Théophraste Renaudot.

Mes articles sur Loudun:

Statue de Descartes à Tours

Tours, statue de Descartes, 1, vue de loin Comme pour les autres statues de Tours, je me suis servie pour cet article du dossier établi par le service régional de l’inventaire de la région Centre, que vous pouvez consulter directement ici. Suite à la construction du parking souterrain près de l’université, la statue a été déplacée en 2006. Elle se trouve maintenant devant un immeuble, non loin du pont de pierre sur la Loire, presque devant la bibliothèque, pas très loin de son emplacement d’origine ou plutôt de l’emplacement de la statue de Rabelais. Elle est maintenant devant l’immeuble qui a remplacé l’ancien hôtel de ville et l’ancien musée ; elle avait été placée en 1852 au milieu de la place Anatole France, avant d’être rejointe par François Rabelais, qui lui fit le pendant à partir de 1880. Oui, je l’avoue, j’ai marché sur la pelouse pour prendre les photographies.

Tours, statue de Descartes, 2, signature Elle est l’œuvre de Alfred Émile O’Hara, comte de Nieuwerkerke, ainsi que l’indique la signature. Il s’agit d’une réplique en marbre de la statue de bronze réalisée en 1846 par le comte de Nieuwerkerke pour la ville de La Haye. La copie fut réalisée en 1848 et présentée au salon des artistes français de 1849 (voir la page 201, à consulter si ça vous intéresse sur le site de la bibliothèque nationale de France). Elle est alors indiquée comme étant déjà destinée à la ville de Tours. L’artiste présenta aussi la même année une statuette en marbre intitulée la Rosée.

Tours, statue de Descartes, 3, presque de face Revenons à Descartes. Cette statue en marbre, de grande taille (3 mètres d’après le catalogue), présente un René Descartes debout, la main gauche sur la poitrine, en geste d’orateur…

Tours, statue de Descartes, 4, le côté droit … et un livre dans la main droite.

Tours, statue de Descartes, 5, de dos Il porte un long manteau…

Tours, statue de Descartes, 6, les chaussures …et des chaussures que l’on aperçoit ici, à bout qui remonte comme pour une poulaine.

Tours, statue de Descartes, 7, les livres et le globe terrestres À ses pieds, à sa gauche, une pile de livre déforme le bas du manteau. L’un d’eux porte sur la couverture une sorte de soleil gravé (voir sur la photo précédente), et un globe terrestre rappelle les travaux de Descartes.

Tours, statue de Descartes, 8, cogito ergo sum Sur la face avant du socle a été gravée en majuscules la citation la plus célèbre de Descartes, Cogito erg sum (je pense donc je suis).

Statue de François Rabelais à Tours

Tours, la statue de Rabelais, 1, vue de loin Comme pour les autres statues de Tours, je me suis servie pour cet article du dossier établi par le service régional de l’inventaire de la région Centre, que vous pouvez consulter directement ici. Suite à la construction du parking souterrain près de l’université, la statue a été déplacée en 2006. Elle se trouve maintenant place Anatole France, non loin du pont de pierre sur la Loire.

Tours, les statues de Rabelais et Descartes à leur ancien emplacement Elle fut réalisée pour faire pendant à la statue de Descartes sculptée par le comte de Nieuwerkerke, ainsi qu’on peut le voir sur cette carte postale ancienne, sur l’article précédent consacré à Tours.

Tours, la statue de Rabelais, 2, vue de face La statue en marbre, de grande taille (3m de haut sur 0,98 m de large) présentée au salon des artistes français de 1880 sous le n° 6290, …

Tours, la statue de Rabelais, 6, la signature …est l’œuvre Étienne Henri Dumaige (sur la signature de l’œuvre, henri (tout en minuscule) DUMAIGE (en majuscule) et à la ligne, 1880. Elle avait été commandée par la ville de Tours (voir le catalogue du Salon, sélectionner l’année 1880 puis la page 584) où elle est placée sur un haut socle (piédestal) sur lequel est inscrit en grand  » François Rabelais « . Vous trouverez plus d’informations sur cet artiste ici (en anglais, désolée, mais c’est la page plus complète que j’ai trouvée, sauf que d’après son acte de décès consulté sur les archives en ligne du département de la Vendée, page 54 du registre numérisé des décès de 1884 à 1892, s’il est bien décédé le 31 mars 1888 à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, il est né à Paris le 16 janvier et non le 30 mars 1830).

Tours, la statue de Rabelais, 5, la citation Sur le socle également, sur la face, se lit cette citation :  » Mieulx est de risque de larmes escribre [? mot non reporté dans le dossier d’inventaire? L DE LARMES NON VISIBLE] / pour ce que rire est le propre de l’homme  »

Tours, la statue de Rabelais, 3, vue de trois quarts Je vous fais quand même faire le tour de la statue…

Tours, la statue de Rabelais, 4, vue de dos … et de dos, avec des livres et un rouleau de parchemin.

Dans les bases de données, vous pouvez voir ici le dossier documentaire établi par le service de l’inventaire de la région Centre et là un dossier établi par le service de l’inventaire de Poitou-Charentes pour une reproduction en miniature fondue en 1887 et se trouvant aujourd’hui dans les Deux-Sèvres (canton de Lezay, collection particulière).