
Pour ceux qui n’ont pas pu suivre mes liens hier pour le jardin de Gabriel Albert: le site du conseil régional de Poitou-Charentes étant inaccessible depuis hier soir, vous pouvez voir le diaporama ici, mais avec un environnement où il peut y avoir de la publicité…
Dimanche dernier, il y avait deux brocantes à Poitiers. J’ai commencé par celle du quartier des Rocs… Départ de chez moi, je prends les escalators de l’espace Toumaï près de la gare pour rejoindre la passerelle des Rocs ou grande passerelle. De là, je rejoins les escaliers de la grotte des druides… Une première volée de marches…
Et surtout la deuxième, un peu plus raide et plus longue. En haut dans un square, une œuvre d’art dont je vous parlerai une autre fois…
La brocante est à quelques centaines de mètres. Même s’il y avait 700m de stands, je n’ai presque rien acheté… mais suis très contente d’avoir trouvé ces soies à broder, en bon état et avec les cartons d’origine…
Même chemin au retour, l’accès aux escaliers entre les murs en béton n’est pas trop encourageant…
…mais les escaliers, c’est plus facile en descendant, non?
De là, je reprends la passerelle, traverse le centre ville, redescends en passant par Sainte-Radegonde. Ensuite, remontée du pont neuf, direction le confort moderne. C’était la traditionnelle vente de disques couplée, depuis l’année dernière, à une petite brocante du quartier et à une présentation des commerçants. L’année dernière, j’avais acheté des tissus d’ameublement, des chutes du tapissier de la route de Nouaillé. J’ai récidivé avec tous ces tissus… juste pour 5 euros. Avant de rentrer, j’ai fait le tour de l’exposition De la neige en été (les œuvres sur le parking transformé en brocante étaient assez masquées). Bon, on va dire que j’aime beaucoup les cartes à publicité que réalisent le Confort moderne, mais beaucoup moins la plupart des expositions…
Avec le tissu à carreau:
- Une manique
Avec un tissu rouge :
- une manique
- une chouette
- un oiseau

Avec le tissu marron :
- la bourriche pour ranger mes rubans
Le thème de la semaine proposé par
Bon, Ceci étant, et le défi? Comme j’ai pu voir le thème depuis un cyber-café, c’est à Londres que je vous emmène cette semaine. Bon, une ville plate, paradis des vélos (pas autant qu’Oxford, mais quand même…)., où se cachent les escaliers? Dimanche 17 avril 2011, 8h, départ à pied de mon hôtel à côté de King Cross, direction la Tate Modern (j’ai le temps, elle n’ouvre qu’à 10h, même s’il y a une petite trotte pour y aller), pour voir l’exposition
Les escaliers de l’entrée principale (à l’ouest) de la cathédrale Saint-Paul, avec ses escaliers d’accès…
J’avance un peu vers le sud et me retourne, voici un jeu d’escaliers et de rampes devant la cathédrale.
Et voici l’escalier qui permet, depuis la cathédrale Saint-Paul, de descendre sur le quai plutôt que de franchir la passerelle du millénaire, conçue par Norman Foster… Droit en face, sur l’autre rive, l’objectif du matin, la Tate Modern… Pause exposition (voir les expositions
Un escalier pour remonter vers le London Bridge… mais je passe mon tour, je souhaite aller jusqu’au Tower Bridge…
Mauvaise idée, le marathon est en train de passer dessus, mais d’un côté, il reste un petit passage pour les piétons (pas de vue de l’escalier, impossible à prendre dans cette foule).
Un petit escalier pour remonter les douves du château de Londres (une « ré-invention » sous la reine Victoria, sans grande réalité historique, près de Tower bridge)…
Pour le dernier… une passerelle sur laquelle je pensais pouvoir traverser le marathon dimanche, et ainsi retourner du côté de la ville où je voulais aller, peine perdue, réservé à la presse… et l’escalier est de l’autre côté, je n’ai pas pu le photographier! Bon, j’arrête là les photographies d’escaliers, je veux encore avoir de la batterie pour d’autres choses (j’ai emporté mon chargeur… mais complètement oublié l’adaptateur de prise de courant!).
Ah, pour finir, un petit plan.
De là haut, il y a une très belle vue sur toute la ville. Au premier plan, vous avez l’église Sainte-Radegonde… avec son clocher roman mais sa nef refaite beaucoup plus tard… À l’arrière plan, la cathédrale…
Et oui, une ville avec des plateaux entaillés par deux rivières, le Clain et son petit affluent, la Boivre, il faut souvent monter et descendre. S’il y a des escaliers, comme ceux
.. des arbres en fleur…
… et des giroflées, qui rendent les murets de la ville éblouissants depuis quelques jours !
Il y a quelques mois, je vous ai montré les
Je n’ai pas compté les marches, elles sont fatigantes parce qu’elles ont des hauteurs et des longueurs fort variables…
En bas, ils partent à peu près en face du pont Achard, et ils rejoignent la rue Saint-Hilaire, pas loin de l’église du même nom (enfin, c’est plutôt l’inverse, la rue a pris le nom de l’ancienne abbaye Saint-Hilaire) où je vous ai montré le
Poitiers est une ville située sur un éperon rocheux à la confluence de deux rivières, le Clain et la Boivre… qui débordent parfi plus ou moins sérieusement. Ces deux rivières ont assez profondément entaillé le plateau calcaire, du coup, le centre-ville, aussi appelé le plateau est plat, mais il faut y monter depuis tous les accès. Et sur les autres rives des rivières, il y a les quartiers périphériques… et aussi des rues très en pente (par exemple la rue de la Cueille aiguë) ou des escaliers parfois au nom poétique comme les escaliers du diable… Je vous montrerai tout ça à une autre occasion. Aujourd’hui, j’ai choisi les deux accès possibles à
La seconde est de traverser le