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Chaumont (8) : deux jardins ludiques…

Le jardin mage tête Cette semaine, je vous présente deux jardins ludiques… enfin, à mon avis. Retour au festival des jardins de Chaumont 2009.

Le jardin n° 22, mange-tête, a été conçu par un groupe d’étudiants et de professeurs de l’école nationale supérieure d’architecture de Paris Val-de-Seine. Des bulles en plastique de diverses couleurs et installées à différentes hauteurs attendent le visiteur. En glissant la tête à l’intérieur, nous avons une vision un peu déformée et en couleur de ce jardin aux dominantes blanches… Une halte rigolote.

La lessive de fleurs, Chaumont 2009, linge blanc Le jardin n° 17 a pour titre Lessive en fleurs et a été conçu par Anaëlle Madec, Jean-François Madec et Clément Constantin, Clément Le Jardinier. Comme la halte des teinturiers, il est constitué de nombreuses plantes tinctoriales. Sur des fils pend du linge, du linge blanc… ou dont les couleurs n’ont pas résisté à un été au soleil…

La lessive de fleurs, Chaumont 2009, linge rouge … mais aussi du linge teinté par ces plantes… J’ai trouvé ce jardin assez rigolo, même s’il est assez sauvage dans le développement des plantes.

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Chaumont (7) : deux jardins minéraux…

Jardin 15, la LoireCette semaine, je vous présente deux jardins qui jouent sur la minéralité…

 J’ai beaucoup aimé Ocre Loire, le jardin n° 15, hommage à Olivier Debré, peintre des bords de Loire, jardin créé par des enseignants et étudiants de l’école régionale des beaux-arts de Rennes (Sarah Chantrel et Valérian Goalec, étudiants, Bruno Dubois, architecte et professeur, et Vincent Dupont-Rougier, professeur). Certains le trouveront trop minéral, avec juste quelques plantes de zones arides… et des plaques d’ardoise, rappelant l’exploitation de ce matériau (cf. les ardoisières d’Angers) et son transport par le fleuve…

Jardin 15, La Loire La Loire justement marquée par ces cailloux noirs et ces îles blanches…

Jardin 15, les cabanes en bord de Loire Et les petites cabanes (de pêcheurs ?) posés ici et là…

Jardin 23, cratère Le jardin n° 23, Météore, a été créée par Nicola Lo Calzo, paysagiste et photographe, et François Bosset, paysagiste. Je l’ai moins aimé que le précédent, même s’il met en scène des plantes tinctoriales, comme l’indigotier ou l’isatis. Une météorite semble être tombée au milieu de ce jardin…

Jardin 23, cratère et geyser Voyez les bords du cratère… avec des bulles d’eau, comme de petits geysers naissants… et la nature qui reprend ses droits après la catastrophe…

Jardin 23, partie désert zen … même là où le paysage est encore désertique… mais ratissé comme dans un jardin zen.

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Voyage en Corse (2) : Bonifacio

La citadelle de Bonifacio vue depuis le port Après Sartène, arrivée à Bonifacio juste après un orage… Voici la citadelle depuis un parking payant, bondé, mais où la barrière s’ouvre même si c’est plein…

les falaises de Bonifacio Après un déjeuner dans un restaurant en bas des marches, nous partons à l’assaut de la citadelle… Nous commençons la visite par une petite promenade au-dessus des célèbres falaises.

Le clocher de Sainte-Marie-Majeure à Bonifacio Puis promenade dans la ville haute, en passant par le clocher de l’église Sainte-Marie Majeure…

… et surtout ses arcs-boutants qui prennent Les arcs-boutants de Sainte-Marie-Majeure à Bonifacio appui sur les maisons de l’autre côté de la rue ! En avant, il y a une loggia ou lieu de réunion… L’ensemble, avec quelques vestiges du 12e siècle, mais surtout des remaniements modernes, est classé monument historique depuis 1982.

Nous avons aussi profité de la journée du patrimoine pour nous promener gratuitement sur les différentes parties du rempart (prévoir sinon un budget d’une dizaine d’euros par personne, car chaque portion fait l’objet d’un droit d’entrée…). C’est assez décevant, car ils manquent vraiment d’explication pour comprendre l’évolution de ces fortifications jusqu’à l’occupation pendant la seconde guerre mondiale… Dans l’un de ces lieux, des éléments de la vie quotidienne sont reconstitués, à la manière des vieux musées d’arts et traditions populaires… Cela mériterait un sérieux dépoussiérage… Il y est fait allusion à la Dame de Bonifacio, qui mourut ici au Mésolithique (disons vers 6000 avant notre ère), découverte par le Pr François de Lanfranchi, et dont les multiples pathologies et handicap ont fait coulé pas mal d’encre dans les milieux spécialisés… (Henri Duday en parla l’année dernière lors de sa conférence au Centre Mendès-France à Poitiers sur la paléo-pathologie). Mais l’original est conservé au musée de la préhistoire de Levie. En gros, elle avait eu un grave accident quand elle était enfant, en est resté grabataire, mais n’en est pas morte.

Le clocher de Saint-Dominique à Bonifacio Plus loin, près des anciennes casernes et ancien lycée, l’église Saint-Dominique avec son clocher octogonal ajouré est beaucoup plus intéressante, et d’ailleurs classée sur une des premières listes de monuments historiques, en 1862.

Mais l’orage suivant arrivait, nous avons eu le temps de regagner la voiture avant le déluge, sans pouvoir éviter les énormes coulées d’eau et de boue sur la route…

Et pour retrouver le voyage de 2009 en Corse, suivez les liens…

Chaumont (6) : des jardins un peu sauvages…

Le jardin n° 5 de Chaumont 2009, en noir et blanc Allez, on continue la visite des jardins de couleur de Chaumont-sur-Loire, tous les liens vers les articles précédents sont en bas de cet article. J’ai choisi deux jardins un peu sauvages aujourd’hui…

Le jardin n° 5 a pour titre Du Noir de l’Eau au Blanc du Ciel, et pour sous-titre, Jardin inspiré par le Jardin d’Escher et son dessin Ciel et eau, si l’on en croit la notice. Il a été conçu par des architectes-paysagistes néerlandais, Anouk Vogel et Katarina Brandt. Dans ce jardin, chaque plante blanche a un pendant, une plante noire (ou très sombre)… Aborder le thème des couleurs par des non-couleurs et le jardin par un fouillis de plantes est osé… Le résultat pas très convaincant à mon goût, mais c’est un jardin qui a semble-t-il beaucoup évolué au cours des mois et en fonction de la pousse et de la floraison des plantes choisies…

Le jardin n° 2 de Chaumont en 2009, variations sur le bleu Le jardin n° 2 a pour titre Ceci n’est pas un monochrome, créé par le bureau B+B, lui aussi d’origine néerlandaise (Anne-Fleur Aronstein, Jeanette Visser, Danielle Huls, Michiel Akker­mans, Veronica Buratto). Dans la partie avant, une sorte de serre présente de manière très ordonnée des petits plants en pots, de variétés qui fleurissent bleu… nous retrouvons les mêmes plantes à l’arrière, dans un jardin assez sauvage tout en bleu, avec des piquets bleus, les paysagistes jouant sur les différentes nuances de cette couleur.

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Voyage en Corse (1) : Sartène

Sartène, vestiges de fortifications Après les difficultés à l’aéroport de Poitiers-Biard, mon voyage en Corse s’est très bien passé… Le premier jour, le matin, nous avons visité Sartène, le village, mais sans aller au musée départemental de préhistoire et d’archéologie de Corse-du-Sud (que vous pouvez retrouvez dans une version non mise à jour – il annonce les tarifs pour l’ouverture prochaine… en 2004- sur le site du conseil général, ou beaucoup plus actualisée sur ce site consacré à la préhistoire corse). Nous avons quand même fait un tour dans les vieilles rues…

Sartène, dans les vieilles rues …en repérant de nombreux vestiges de fortifications. Dans une petite rue, ne pas rater la boutique du photographe William Moureaux, art et images : il y vend des photographies… et des cartes postales très originales au même prix que les cartes ordinaires ailleurs, vous pouvez les découvrir dans sa galerie de photographies à tirage limité. Il a aussi une activité classique de photographe (mariages, portraits, autres événements familiaux, communication d’entreprise, etc.).

Et pour retrouver le voyage de 2009 en Corse, suivez les liens…

Chaumont (5) : Deidi Von Schaewen et autres artistes de la ferme

Chaumont, 2009, Arbres sacrés de Deidi Von Schaewen Après les artistes des écuries, je vous parle des créations de Deidi Von Schaewen dans le parc et dans la grange aux abeilles.

Dans le parc, jusqu’au 16 octobre 2009, Arbres sacrés, une série d’immenses photographies d’arbres sacrés en Inde, qui se confondent avec l’arbre contre lesquelles elles sont appuyées… Vraiment impressionnant, vous ne trouvez pas ?

Chaumont, 2009, Arbres sacrés de Deidi Von Schaewen En voici une autre vue…

Toujours sur l’Inde, cette artiste présente des vidéos dans la grange aux abeilles. Intitulées Sravanabeloga, ces vidéos sur grand écran montrent d’un côté la tête, de l’autre les pieds d’une statue monumentale à qui un culte jaïne est donné toutes les X années. La statue est arrosée de lait, de jus colorés, etc. Derrière, deux petits écrans montrent la cérémonie en entier.

Juste à côté, dans le même espace de la grange aux abeilles, Luzia Simons présente des scannogrammes (réalisé sur une vitre de scanner et pas photographiés) de tulipes, super agrandis… J’ai trouvé ça rigolo, mais répétitif d’un tirage à l’autre. Vous pouvez les voir jusqu’au 16 octobre 2009.

Pas loin, dans l’asinerie, Jean-Louis Elzéard présentait (jusqu’au 31 août…) Reconnaissance de la rivière, assemblage de photographies présentant la confluence de deux rivières dans la Drôme. Belles photos, mais un peu froides, je trouve…

De l’autre côté de la cour, dans la galerie du fenil (ancienne étable), jusqu’au 16 octobre 2009, Daniel Walravens a investi avec De vert au vert les murs pour une variation de 50 tableaux tout verts, de différentes nuances, au fond, une grande table avec plein de noms de verts (vert émeraude, vert bouteille et des dizaines d’autres). Dans les stalles, de petites plaquettes vertes, avec le numéro de la nuance. Il est coloriste pour l’industrie… créateur de couleur, je trouve que cette œuvre manque d’un je ne sais quoi… Vous pouvez en voir une photographie ici, qu’en pensez-vous ?

Lien vers les sites des artistes :
Deidi Von Schaewen (pas le site officiel, un site de galerie que je trouve très riche).
Luzia Simons
– Jean-Louis Elzéard (pas le site officiel, sur Actu-photo).

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Chaumont (4) : la halte des teinturiers

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 13, la halte des teinturiers, le bassin et les tiges en maïs Après graine de conscience 2, mon jardin préféré cette année est le jardin n° 13, la halte des teinturiers. Les créateurs, Frédérique Michel, Dimitri Leduc, Noémie Chevereau, Luc Meinrad, Guillaume Felder, Frédéric Langel et Gisèle la salamandre du bassin (c’est dans le dossier), ont réutilisé le bassin du jardin La halte, créé en 2008 par Céline Le Tixerant et Axel Equilbey. J’aime beaucoup cette idée de continuité, de réutilisation partielle… un peu comme les compagnons qui réutilisent une pièce de charpente par exemple dans la nouvelle qu’ils créent… Ce bassin, ils l’ont surmonté d’un rideau que de loin on croirait en plastique, mais en fait, il s’agit de maïs compacté… et compostable à la fin du festival. Ils évoquent les fibres qui sortent du bain de teinture (le bassin). Tout autour du bassin, diverses ambiances colorées… Juste un regret, aucun livre à la boutique avec les recettes pour utiliser ces plantes… Les quelques explications sur les panonceaux ne donnaient pas non plus les recettes…

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 13, la halte des teinturiers Allez, quelques vues de plus près…

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 13, la halte des teinturiers, le pastel … le pastel, j’aime beaucoup le traitement des plantes et l’évocation de la couleur et de la cuve de colorant…

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 13, la halte des teinturiers, la ronce … la ronce, dont on peut utiliser les fruits (d’ailleurs, on s’en rend bien compte en les cueillant en ce moment pour les confitures)…

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 13, la halte des teinturiers, la garance … la garance, dont la racine donne un joli rouge…

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 13, la halte des teinturiers … et une autre petite vue du jardin.

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Un peu de préhistoire pour les JPAT ?

Et si, pour les journées du patrimoine (JPAT pour les intimes…) ce week-end, vous alliez voir un peu de préhistoire ? Les journées du patrimoine, c’est plutôt des sites et des monuments historiques que des musées, mais quelques-uns proposent des activités particulières à cette occasion (attention, pas forcément gratuits, plus souvent à tarif réduit)…

Je vous propose d’aller au musée de préhistoire du Grand Pressigny, en Indre-et-Loire, mais pas loin de La Roche-Posay. Le musée, agrandit par l’architecte Bernd Hoge, rouvrira ses portes dimanche 20 septembre. Le site internet montre une vue panoramique du musée, donne les informations pratiques et peu d’autres choses pour l’instant (Paléolithique avec une faute, peut-être corrigée depuis ma visite du 11/09).

Le monument aux morts de Poitiers par Aimé Octobre Pas très loin, vous pouvez aller dans la Vienne à Angles-sur-l’Anglin, avec son beau château, son village, ses jours (technique de broderie…) et bien sûr son site d’interprétation de la frise sculptée magdalénienne du Roc-aux-Sorciers. Le village baptisera aussi ce week-end une place au nom du sculpteur Aimé Octobre, né dans ce village. Il ne vous dit rien ? Mais je vous ai déjà montré certaines de ses oeuvres, comme la grande poste de Poitiers ou, à quelques centaines de mètres, le monument aux morts de la Vienne en 1914-1918. Le monument d’Angles est aussi de lui, une belle victoire monumentale, dont une miniature se trouve dans la main du soldat grec du monument de Châtellerault… Si vous ne pouvez pas aller les voir, vous pouvez toujours aller voir l’inventaire des monuments aux morts portant l’allégorie de la République ou lire le Parcours du patrimoine de C. Pon sur le même sujet.

Sinon, en Charente-Maritime, le Paléosite à Saint-Césaire (pas loin de Saintes, ni de Cognac, côté Charente) proposera plein d’activités pendant tout le week-end, et dimanche 20 septembre, le premier concours départemental de tir au propulseur.

Chaumont (3) : Méchain et les artistes exposés dans les écuries

L'arbre aux échelles de François Méchain à Chaumont-sur-Loire Après le le domaine de Chaumont-sur-Loire et un premier jardin, j’aborde aujourd’hui le centre d’arts et de nature. Chaque jour à 14h30, une médiatrice propose de présenter les différentes œuvres dispersées sur le domaine, j’étais sa seule auditrice ce jour-là, c’est bien dommage. J’avais fait un tour de ces œuvres avant, pour ressentir les émotions sans a priori.

Deux installations de François Méchain, artiste charentais, sont présentées à Chaumont-sur-Loire. Dans le parc, L’Arbre aux échelles est un grand arbre qui domine la Loire et aux branches duquel des dizaines d’échelles sont suspendues… L’auteur dit d’être inspiré du Baron perché d’Italo Calvino. Je l’ai à nouveau photographié en 2010 et en 2011.

La seconde installation se trouve dans le petit manège des enfants et carrément flippante, je trouve. Un très gros tronc d’arbre calciné est couché au sol, tout rouge (brique pilée ?), et hérissé de couteaux… qui lui valent son titre d’Arbre aux couteaux. Vous pouvez voir ces œuvres jusqu’au 31 décembre 2009. Je n’ai pas pris de photos des différentes expositions des écuries…

Il a créé en 2012 une nouvelle œuvre dans la grange aux abeilles.

Dans la nouvelle galerie des écuries, j’ai adoré La racine des légumes de Jacqueline Salmon (à voir jusqu’au 16 octobre 2009). Dans chaque salle, des photographies de légumes pris à maturité, photographiés comme « en pied », en fait posés à plat sur une dalle de béton, de la racine (nettoyée) au bout des feuilles… Il s’agit d’une série réalisée de 1998 à 2000 par Jacqueline Salmon et Robert F. Hammerstiel, qui l’a assisté dans ce travail difficile (attendre la mâturité des légumes, et prendre vite les photos, avant que les feuilles ne flétrissent.

Dans la cour des écuries, une installation assez curieuse de Patrick Blanc. Elle est composée comme un mur végétal (il en est l’un des promoteurs), en feutre avec des poches qui reçoivent des plantes, un arrosage au goute à goutte depuis le haut… un peu comme le mur végétal du musée du quai Branly qu’il a aussi créé. Sauf que le feutre ici à une forme hélicoïdale, avec plein de contre-dépouilles (des parties en creux et rentrantes, que l’on ne peut pas démouler lors d’un moulage, et qui ici prennent difficilement l’eau). Vous pouvez voir son évolution en 2010 (pas en forme) et en 2011 et 2012 (mieux).

Lien vers les sites des artistes :
François Méchain
Jacqueline Salmon
Patrick Blanc

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Chaumont (2), graine de conscience 2

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 6 de Florence Mercier, vue 1 Après le domaine de Chaumont-sur-Loire, voici un de mes jardins préférés de l’édition 2009 du festival des jardins, sur le thème, les jardins de couleur… Sur le plan de visite, il s’agit du jardin n° 6, intitulé Graine de conscience 2. Sur un tout petit espace (le même pour chacun), Florence Mercier a poursuivi son projet commencé en 2008. J’ai beaucoup aimé accéder à ce jardin par deux entrées différentes, et le découvrir ainsi sous plusieurs facettes…

Cette vue, vous l’avez si vous franchissez, au bout d’une allée, trois gros pots qui barrent en partie le chemin…

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 6 de Florence Mercier, vue 2 Devant le mur minéral…

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 6 de Florence Mercier, vue 3 … des messages suspendus par les visiteurs sur des fils…

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 6 de Florence Mercier, vue 4 L’autre facette, c’est en passant de l’autre côté du mur, une allée étroite et végétalisée (que vous pouvez aussi trouver par l’autre entrée…)

Chaumont, festival des jardins 2009, jardin 6 de Florence Mercier, vue 5 Encore une autre vue, avec les reflets dans ce grand miroir. C’est un des jardins préférés cette année… Si vous lisez l’explication de la créatrice, vous devez retrouver une forêt tropicale qui évoque l’Océanie, un champ de fleurs pour l’Europe et un jardin shinto inspiré du Japon… Mais je préfère visiter le jardin sans lire ces textes très Bo-bo devant chaque jardin.

D’après le dossier en ligne, vous pouvez retrouver ses jardins sur les berges de la Seine à Épinay-sur-Orge, à Villiers-sur-Orge, à Ballainvilliers, dans le parc de l’université d’Orléans-La-Source, la zone de référence de Saint-Dizier, ou encore le jardin Vallon à Cachan ou le parc Songis à Troyes. Je n’en connais aucun, et vous ?

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