Archives de catégorie : Musique / Chansons / Spectacles

Les spectacles que j’ai vus, concert (surtout musique classique, musique du monde), théâtre, danse, cirque, magie

Soirée à La Carrière

Mardi soir, j’ai passé la soirée avec des amis à La Carrière de Normandoux à Tercé, à une vingtaine de kilomètres de Poitiers. Ce nouveau lieu a ouvert cet été dans une ancienne carrière réaménagée, avec un vaste espace en bord du plan d’eau dominé par les anciens fronts de taille. Le lieu est grandiose (voir les photos sur la page d’accueil du site), ouvert en été aussi en dehors des soirées de cinéma ou de concert. Au programme mardi, un montage de 40 minutes de films anciens tournés dans la région Poitou-Charentes et agencés par Trafic images, une association qui collecte des films professionnels et amateurs et les numérise, films accompagnés en direct par le quintet Opa Tsupa, un groupe poitevin qui mêle toutes sortes de musiques. Ce groupe est composé de Nicolas Mauro, guitare, mandoline, stell guitare, banjo ; Mickaël Talbot, guitare, oukoulélé ; Anthony Ribo, guitare, mandoline, banjo ténor ; Sébastien Girard, contrebasse ; Kim Dan Le Och Mac, violon quinton, guitares, mandolines, banjos, contrebasse et violon. Après un long entracte, ce groupe a donné un concert de plus d’une heure trente au lieu de la demi-heure prévue, vraiment très varié, plein d’humour. Si vous êtes dans le secteur, n’hésitez pas à aller à la deuxième soirée avec le même film et le même groupe, le 26 août à 20h (enfin, l’autre jour, ça a commencé à 20h45 au lieu de 20h (attention, information du 18 août, la soirée du 26 semble annulée… et information du 25 août : les projections auront lieu les 26 et 27 août, mais avec un autre groupe, la coopérative à bricole), mais il y a une buvette et un barbecue pour patienter agréablement). Si vous n’êtes pas dans le coin, allez découvrir la musique d’Opa Tsupa sur leur site internet et n’hésitez pas à commander leurs CD, page sur laquelle vous pouvez écouter des extraits.

Sur le lieu, il y a également des créations contemporaines (là, une œuvre avec des glaçons en forme de main sur une plaque de verre, qui fond en laissant des traces sur un tas de sable dessous, je n’ai pas vu le nom de l’auteur) et des projections sur les fronts de taille de la carrière, y compris des images du concert pendant celui-ci.

Vous pouvez trouver des extraits de films collectés par Trafic Image sur le thème du patrimoine industriel sur le site internet du service régional de l’inventaire de Poitou-Charentes.

Je pars demain pour deux ou trois jours à Caen, car je souhaite y voir l’exposition En perspectiven Giacometti, qui se termine le 31 août au musée des Beaux-Arts. Cette exposition propose une rencontre avec 15 artistes contemporains, dont Georg Baselitz, Louise Bourgeois, Donald Judd, Alain Kirili ou encore Annette Messager. Je vous prépare quelques articles pour les prochains jours.

Journée internationale des femmes, théâtre

Hier après-midi, Madame la Présidente de la région nous avait convié à assister à une pièce de théâtre dans le cadre de la journée internationale des femmes. Bien que les deux représentations aient eu lieu sur le temps de travail, que tous les employés du conseil régional aient été invités, il y avait un nombre ridicule d’hommes dans la salle. C’était vraiment dommage. La pièce était très bien. Il s’agissait de La patate en émoi, pièce écrite et jouée par Anne Voisin, de la Compagnie Bleu Citron, de La Rochelle. L’actrice est accompagnée d’une musicienne, qui joue du piano, de la flûte traversière, de l’accordéon et chante à la fin. Le sujet de la pièce, qui dure une heure et quart, est de montrer les différentes vies intérieures de la femme (mère, ménagère, etc.). Le débat qui suivait devait aborder le thème  » comment concilier vie personnelle et vie professionnelle « , mais n’a guère rencontré d’écho.
La pièce devrait être donnée en mai 2008 à Paris, lieu et date probablement sur le site de la compagnie.

Offenbach à La Passerelle

Hier soir, je suis allée voir avec des collègues La Vie parisienne de Jacques Offenbach à Nouaillé-Maupertuis. La troupe, composée d’amateurs de trois chorales du département et de professionnels, a superbement interprété cette opérette, dans une salle bondée.
Je ne connaissais pas cette salle. Pour la partie spectacle, rien à dire. Mais une fois de plus, des économies ont été faites sur les annexes : pas assez de toilettes (tout le monde s’y rue à l’entracte), parking un peu petit, et surtout, voie d’accès pas éclairée et qui semble mener à une déchetterie plutôt qu’à une salle de spectacle.
Aujourd’hui, je termine ma broderie pour le concours  » broder la nature  » à Avanton (lien dans un article fin janvier, j’irai aussi probablement voir La graine et le mulet au cinéma (dernière séance aujourd’hui à un horaire pratique), je n’aurai donc probablement pas le temps de broder la grille ABC 3, disponible sur le site de Grandma’s kitchen. Pour rappel, vous pouvez voir la grille 2 que j’avais réalisée début février et la grille 1 en janvier.

Béranger, les textes

Les chansons de Pierre-Jean de Béranger (1780-1857) ont connu un grand succès. D’un ton très libertaire pour certaines, nombre de ces chansons sont disponibles sur le portail Gallica de la Bibliothèque nationale de France, par exemple dans l’album illustré par Grandville.

Ma mère s’est suicidée quelques jours après son soixantième anniversaire, sans que je puisse lui donner les cadeaux que j’avais prévu, à l’exception d’un livre original de chansons de Béranger, mais j’avais aussi prévu de lui donner lors de la fête prévue quelques semaines plus tard un classeur sur Béranger avec des textes de ses chansons, une discographie actuelle de chanteurs qui ont été inspiré par Béranger, des photos d’assiettes et de lieux parisiens autour de Béranger toujours et je lui avais cousu un petit âne.

Béranger, discographie

Côté musique, j’avais commencé à récupérer des chansons de Béranger interprétées plus ou moins récemment :

  • Richard Wagner : Les adieux de Marie Stuart
  • Serge Hureau : Paillasse ; Le pape musulman ; Les souvenirs du peuple
  • Michèle Bernard : Les cinq étages ; Jeanne La Rousse ; Ma grand-mère
  • La Chiffonie : Le Larron
  • Jean-Louis Murat : La Liberté ; Le cinq mai ; Le mort vivant ; Ma République ; La chatte ; Waterloo ; La fortune ; À ma filleule ; Le pape musulman ; Les souvenirs du peuple ; La petite fée ; La bacchante ; La fille du fossoyeur ; Jeanne la rousse
  • Édouard Lalo, Six romances : La pauvre femme ; Beaucoup d’amour ; Le suicide ; Si j’étais petit oiseau ; Les petits coups ; Le vieux vagabond
  • François-Adrien Boïeldieu : Adieu, charmant pays de France
  • La Comtesse : La petite ouvrière
  • Charles Gounod mise en musique de : Le Juif-errant, musique publiée en 1861 ; Les champs ; Mon habit, musique publiée en 1855.

Le hall de la chanson, à Paris, lui a rendu un hommage en décembre 2007. Le site propose aussi une biographie de Béranger.

Ma mère s’est suicidée quelques jours après son soixantième anniversaire, sans que je puisse lui donner les cadeaux que j’avais prévu, à l’exception d’un livre original de chansons de Béranger, mais j’avais aussi prévu de lui donner lors de la fête prévue quelques semaines plus tard un classeur sur Béranger avec des textes de ses chansons, une discographie actuelle de chanteurs qui ont été inspiré par Béranger, des photos d’assiettes et de lieux parisiens autour de Béranger toujours et je lui avais cousu un petit âne.

Béranger, les lieux de mémoire

Ma mère s’était prise de passion pour Pierre Jean de Béranger, aussi, pour ses soixante ans, j’avais prévu de lui offrir différents objets en rapport avec cet auteur… Elle s’est suicidée avant…

Pour les images, lors d’un précédent voyage à Paris, j’étais allée prendre quelques photos :
statue de Béranger dans le square du Temple à Paris– dans le square du Temple, sa statue par Henri Lagriffoul en 1953, qui remplace la statue de Amédée [Donatien] Doublemard (Flavigny-le-Grand-et-Beaurain, 1826 – Paris, 1900), présentée au salon des artistes français de 1884  sous le numéro 3472 et fondue en 1942;
Plaque de la rue Béranger à Paris– la plaque de la rue Béranger, dans le troisième arrondissement ;
La tombe de Béranger au cimetière du Père-Lachaise, vue en février 2007, plaque funéraire– sa tombe que j’avais eu bien du mal à trouver dans le cimetière du Père-Lachaise, en dépit de la carte postale ancienne la représentant que j’avais trouvée.
La tombe de Béranger au cimetière du Père-Lachaise, vue en février 2007J’avais aussi collecté plein de reproductions de gravures illustrant ses chansons ou représentant Béranger, ainsi que d’une  publicité, que j’avais pu acheter.
La tombe de Béranger au cmetière du Père-Lachaise, carte postale ancienne beranger-etiquette-pub-copie-1.jpg

Ma mère s’est suicidée quelques jours après son soixantième anniversaire, sans que je puisse lui donner les cadeaux que j’avais prévu, à l’exception d’un livre original de chansons de Béranger, mais j’avais aussi prévu de lui donner lors de la fête prévue quelques semaines plus tard un classeur sur Béranger avec des textes de ses chansons, une discographie actuelle de chanteurs qui ont été inspiré par Béranger, des photos d’assiettes et de lieux parisiens autour de Béranger toujours et je lui avais cousu un petit âne.