J’ai reçu une grosse enveloppe de la part de Véro bis (clic clic pour aller voir ses créations), des cartes à publicité des des marque-pages dont une grosse série de lieux culturels de Tours. Les trois premières en haut sur des expositions à la chapelle des Lazaristes en 2003 (Christilla Roze, Zazü et Présence concertante – Sophie Marchand/Gérard Poulard). Cette chapelle a été vendue en 2010 par la ville à Métropole orthodoxe roumaine d’Europe occidentale et méridionale qui devrait y réaliser des travaux (information janvier 2014). Le 4e en haut est pour l’exposition Disegno et couleur, exposition au musée des Beaux-Arts de Tours en 2013. Puis les deux suivantes sont des expositions qui ont eu lieu en 2004 dans le péristyle de l’hôtel de ville de Tours, sur Serge Crampon et sur le sculpteur Michel Audiard, et au milieu de la ligne en dessous Olivier Jauzenque en 2003. Les autres marque-pages de la deuxième ligne concernent des expositions du Château de Tours: Joan Miró en 2002, Archipels, artistes en herbe en 2006, Jean-Gilles Badaire en 2005, Fifi Manchu et Chan Ky-Yut en 2003.
Dans les autres marque-pages, je vais vous proposer moins de liens… Je vous signale au milieu de la première ligne le week-end du livre ancien (qui a eu lieu les 9 et 10 août 2014) à Chinon, les titres de la série Marie Lester de Jean Failler (revoir Sans verser de larmes, Villa des Quatre Vents, Casa del Amor), et, à l’horizontal, les deux de l’atelier Annadora d’une artiste islandaise à Belle-Île-en-Mer.
Parmi les cartes à publicité, une exposition au musée Rabelais (où je ne suis finalement pas allée, mais je n’oublie pas tes recommandations, Véro bis), et une carte créée par Ben / Benjamin Vautier pour la Fondation du doute à Blois.
Un grand merci à Véro bis!!!
- au musée des Beaux-Arts : le cèdre et l’éléphant, le monument à François Rude par Becquet
- les expositions du château et du musée des Beaux-Arts : Max Ernst, Yves Elléouët et sur la fondation des Treilles, Nadar, Richelieu, Kertesz et Zola,
- l’hôtel de ville : la façade et les atlantes, le décor central (de Varenne, Injalbert et Carlier), la force et le courage de Jean Hugues, l’éducation et la vigilance de Cordonnier.