En prévision d’un éventuel futur défi photographique de Monique / Bidouillette / Tibilisfil, j’avais fait il y a quelques semaines des photographies d’enseignes à Poitiers. Puis Monique a mis son blog en veille… Aujourd’hui, la mise en place de l’enseigne de la Maison de papier (dont je vous ai montré la façade dans la rue de la Cathédrale à l’occasion du défi des potagers urbains) est l’occasion de mettre à jour et de publier cet article préparé il y a déjà un moment. Elle est l’œuvre de Olivier Monteil, comme les trois suivantes dans cet article…
Je continue par une enseigne que j’admire régulièrement sans avoir jamais testé le service, contrairement à la plupart des enseignes suivantes… Arsène Couture a choisi de promouvoir son activité avec une bobine, du fil et une aiguille. Cette enseigne se trouve rue Scévole de Sainte-Marthe, une petite rue tout en haut à droite quand on entame la Grand’Rue en partant de Notre-Dame-la-Grande.
Un autre magasin de jouets, plutôt style jeux anciens, boîtes à musique et petits objets de décoration à l’angle de la Grand’Rue et de la rue Riffault. J’aurais pu la prendre pour les animaux qui ne bougent pas.
En plein milieu l’amphithéâtre romain , rue Bourcani, de se trouve une friperie chic pour les bobos du quartier, Roberte et Lucienne.Je pense que cette enseigne a aussi le même auteur…
En haut de la Grand’Rue se trouve un fleuriste ouvert il y a quelques mois et qui propose des compositions très originales, ne ratez pas Coquelicot sir vous passez par Poitiers…
Une adresse pour Zazimuth qui aime les jeux de société, le Dé à trois faces rue Édouard Grimaud.
Pas vraiment une enseigne, mais je n’ai pas pu résister, voici le carillon (ici à midi moins une, il sonne vive le vent et les personnages défilent) de la bijouterie Landreau rue ds Cordeliers.
Rue des trois-Rois, les compagnons du devoir ont installé aussi leur enseigne…
Et tout à côté, rue de la Chaîne, le réparateur d’instruments de musique de l’Atelier a choisi un saxophone.
Ce bon vivant vous accueille rue Carnot au bistro de l’Absynthe. Une salle tout en long, bruyante dès qu’il y a du monde. Je préfère le Vingélique, tenu par le même patron, juste en face, un peu plus cher mais à peine le midi (plus le soir, c’est sûr), service stylé.
Ce cuistot dodu touillant dans sa marmite vous accueille dans une excellent adresse rue des Vieilles Boucheries, la Table du jardin, penser à réserver le midi (le soir aussi, je pense), la salle est petite, ou alors rejoignez le nouveau restaurant ouvert juste à côté, place Charles VII.
Un bistrot plein d’arnaque à l’entrée de la rue de la Regratterie (il doit encore être sur la place du marché, euh, plutôt du Général-de-Gaulle), près de la façade de Notre-Dame-la-Grande. On ne voit jamais les mêmes serveur, et contrairement à ce que laisse à penser l’enseigne, vous n’y mangerez pas de la cuisine au feu de bois mais des tajines réchauffés.
Rue Gambetta, au fond d’une petite ruelle se trouve un charmant et minuscule salon de thé, avec de délicieux scones le samedi à l’heure du goûter… Attention, il y a très peu de tables…
Je termine par un montage des enseignes de bistrots et restaurants les plus fréquentes, payées par les brasseurs et producteurs de bière (sauf une marque de café)… J’ai hésité à flouter, pas de publicité sur mon blog… Et puis j’ai laissé, mais attention, à boire avec modération!