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Django Unchained de Quentin Tarantino

Affiche de Django Unchained de Quentin TarantinoVoici la suite de ma participation au festival Télérama 2014. Initialement, j’avais prévu d’aller voir A touch of Sin de Jia Zhang Ke. Mais il était dans une salle plus loin que celle où passait Django Unchained de Quentin Tarantino (revoir mon avis sur Inglorious Basterds). Ce dernier passait une demi heure plus tôt, mais était plus long. Il avait surtout l’avantage d’être en anglais (donc plus facile à comprendre que le chinois quand ma vue m’interdit de lire les sous-titres, environ 1h30 après le début du film), d’avoir remporté le Golden Globe du meilleur scénario et d’être chaudement recommandé par Ammaria (sans blog) et Emmanuelle / le Marquoir d’Élise. Il se passe à une époque et sur un sujet très proches de 12 years a slave de , sorti ce mercredi (revoir mon avis sur Hunger).

Le film, présentation officielle:

Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz [Christoph Waltz], un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django [Jamie Foxx], un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.
Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda [Kerry Washington], sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie [Leonardo DiCaprio], ils éveillent les soupçons de Stephen [Samuel L. Jackson], un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie…

Mon avis : un western comme je n’en ai pas vu depuis longtemps! Certes, il y a des scènes très violentes (un esclave fugitif qui ne voulait plus participer à des combats d’esclaves donné à dévorer par les chiens, les scènes finales, etc.), mais Quentin Tarantino revisite le style, le parodie, n’hésite pas à user des clichés du genre (grande scène devant le pub du village où il tue le sherif, recherché pour meurtre), mais aussi à montrer de grands paysages. Quand l’esclave opprimé devient lui-même le justicier, Leonardo DiCaprio un « méchant », que du bonheur!

Festival Télérama 2014:

les films que j’ai vus avant le festival

– les films que j’ai vus dans le cadre du festival

– les films que je ne verrai pas parce qu’ils ne passent pas à Poitiers

  • Inside Llewyn Davis de Joel et Ethan Coen
  • Heimat, Edgar Reitz (dommage, il me tentait bien, il est sorti au mauvais moment pour moi)
  • Mon âme par toi guérie de François Dupeyron

– les films que je n’ai pas vus

  • Le Géant égoïste de Clio Barnard
  • A touch of Sin de Jia Zhang Ke
  • Snowpiercer, Le Transperceneige de Bong Joon-ho
  • La Danza de la Realidad de Alejandro Jodorowsky

 

Inglourious Basterds de Quentin Tarantino

Affiche de Inglourious basterds de Quentin Tarantino Dans le cadre du festival Télérama 2010, j’ai aussi vu Inglourious Basterds de Quentin Tarantino, prix d’interprétation masculine pour Christoph Waltz (dans le rôle du colonel Hans Landa) à Cannes en 2009. Encore un film au titre non traduit, alors qu’il est sorti au Québec sous le titre Le Commando des bâtards [depuis, du même réalisateur, j’ai aussi vu Django Unchained].

Le film : dans le centre de la France occupée, le colonel SS Hans Landa (Christoph Waltz) interroge un père de famille pour retrouver une famille juive d’agriculteurs qu’il soupçonne de cacher. Personne n’en réchappera, sauf une adolescente, Shosanna Dreyfus (Mélanie Laurent), qui parvient à s’enfuir et que l’on retrouvera en 1944 sous une nouvelle identité comme gérante d’un cinéma sur les boulevards parisiens.
Ailleurs en Europe, le lieutenant Aldo Raine (Brad Pitt) forme un commando de soldats juifs spécialisés dans des actions ciblées et risquées, connus sous le nom de « The Basterds » et dont la spécialité est de scalper les nazis qu’ils capturent, et d’en laisser échapper un vivant avec une croix gammée incisée sur le front.
À Paris, en 1944, le cinéma de Shosanna doit accueillir la première d’un film de propagande nazi sur un soldat snipper lors du débarquement, le gratin du régime allemand (Goebbels en tête) doit y assister. Le colonel Hans Landa est maintenant chargé de la sécurité de cette première. Shosanna d’un côté et le commando des basterds de l’autre vont chercher à mettre à profit ce rassemblement de nazis pour se venger… d’autant que Hitler décide d’assister à la soirée.

Mon avis : certaines scènes sont violentes, mais c’est probablement le film que j’ai préféré pour le festival Télérama 2010. Tous les acteurs sont fabuleux, l’histoire est bien ficelée, à voir…

Les films que j’ai déjà vus du festival Télérama 2010 :