Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (10): Dominique Bailly

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 1, le château d'eau de loin

Cette année, je suis allée visiter le festival des jardins de Chaumont-sur-Loire (sur le thème Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité heureuse) le 10 juin 2011, en train comme d’habitude (jusqu’à Onzain), avec Dalinele. Vous retrouverez les liens vers les articles de cette année avec ceux des années précédentes, sur cette page, et au fur et à mesure de leur publication en bas de chaque article. En attendant la suite, vous pouvez aussi faire la visite sur le site du domaine de Chaumont-sur-Loire). J’essayerai de mettre des liens vers les sites des concepteurs ou les sites créés pour ce festival, n’hésitez pas à suivre les liens…

Pas de jardin cette semaine, mais les œuvres de Dominique Bailly qui sont présentées jusqu’au 03 novembre 2011. Un dossier de présentation (je ne suis pas sûre que la page soit pérenne) est proposé ici. Sous le château d’eau (que je vous ai présenté ici), L’abri.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 2, abri vu de face Comment ça, vous ne voyez rien? Aller, on s’approche…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 3, l'abri, vu de profil Ou bien vous voyez mieux comme ça? Ces branchages sont censés vous interroger sur ce que sont l’intérieur et l’extérieur, le plein et le vide…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 4, le chemin de Diane Dans le parc, en bord de la rupture du plateau, Le chemin de Diane. Deux croissants de lune en métal ajouré (Diane n’est pas seulement la déesse de la chasse mais aussi celle de la lune) délimitent une sorte de fenêtre sur le paysage, tout au bout d’un chemin en bois.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 5, le chemin de Diane, vers les monuments En se plaçant bien, il est possible d’encadrer des monuments…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 6, le chemin de Diane, vers le paysage …ou le paysage.

Chaumont-sur-Loire 2011, envolée de montgolfières dans l'oeuvre de Dominique Bailly En septembre, j’ai réussi à encadrer les montgolfières…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 7, le chemin de Diane vers le parc Arrivé à ces croissants, il est aussi possible de se retourner, autre vision sur le chemin de planches…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 8, le bout du chemin de Diane …que se termine en pointe, côté Loire (très sec, en ce mois de juin…).

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 9, le chemin de Diane, de profil D’un autre endroit du parc, on aperçoit juste le cercle comme un mince filet…

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 10, les sphères vues de loin Sous l’auvent des écuries, Les sphères.

Chaumont-sur-Loire 2011, le parc, Dominique Bailly, 11, les sphères vues de près Cinq boules de bois de 80cm à 1m20 de diamètre, trois en séquoia, une en chêne et une en cèdre… oui, bon, mais???

Pour retrouver les articles de 2011 / Jardins d’avenir ou l’art de la biodiversité :

  • en préalable, le puits avec des archers et les gargouilles du château
  • le jardin n° 1, Le laboratoire, conçu par Méryl Fanien, Philippe Guillemet et Cyrille Parlot
  • le jardin n° 2, Sculptillonnages, conçu par Corinne Julhiet-Detroyat et Claude Pasquer
  • le jardin n° 3, Tu me manques, conçu par Jacob Vilato et Marc Cunat
  • le jardin n° 4, La transparence du ver, conçu par Anne Blouin et Alessandra Blotto
  • le jardin n° 4bis, La bibliothèque du souvenir
    , conçu par Gaétan Macquet, Oreline Tixier et Pierre-Albert Labarrière
  • le jardin n° 5, L’envers du décor, conçu par Cathy Viviès et Vanessa Farbos
  • le jardin n° 6, Le jardin bijou, conçu par Loulou de La Falaise avec le concours de Paul-Antoine Penneau
  • le jardin n° 7, la sève à la croisée des chemins, conçu par Ernesto Neto et Daisy Cabral Nogueira
  • le jardin n° 8, La biodiversité en question, conçu par Olivier Chardin, Anaïs Brochiero, Philippe Verigno et Anaïs Brochiero,
  • le jardin n° 9, Le jardin pixélisé conçu par Mattéo Pernigo et Claudio Benna
  • le jardin n° 10, Le jardin méditerranéen conçu par les équipes du festival en liaison avec les étudiants de l’Institut national d’horticulture d’Angers
  • le jardin n° 11, Manier avec précaution, conçu par Jeroen et Maarten Jacobs
  • le jardin n° 12, Le jardin des plantes disparues, conçu par Olivier Barthélémy et Denis Valette
  • le jardin n° 13, La nature des choses, conçu par Soline Portmann, Aurélie Zita et Mioko Tanaka.
  • le jardin n° 14, Célébrons et tissons la [bio]diversité, conçu par Manon Bordet-Chavanes
  • le jardin n° 15, Entre ciel et terre, conçu par Wang Xiangrong
  • le jardin n° 16, Lucy in the sky, conçu par Chilpéric de Boiscuillé, Raphaëlle Chéré, Pauline Szwed et Benjamin Haupais,
  • le jardin n° 17, Les bulbes fertiles, conçu par Xavier Bonnaud, Stéphane Berthier, Clément Bouchet, Fabien Gantois, Etienne Panien, Olivier Duraysseix et Guillaume Pezet
  • le jardin n° 18, Le jardin à la rue, conçu par Julien Maieli et Germain Bourré
  • le jardin n° 19, le jardin de Madame Irma, conçu par Gladys Griffault, Clara Juncker, Emmie Nyk et Pascale Trouillet
  • le jardin n° 19bis, La biodiversité bleue, sans concepteur identifié
  • le jardin n° 20, Le jardin à emporter, conçu par Steve Papps, Jo Chapman et Jackie Bennett
  • le jardin n° 21, Le jardin des marées, conçu par Sarah Foque, Roland Horne, Jeremy Clark, Jos Gibson, Olly Hurst et Stan Van Der Laan…
  • le jardin n° 22, Graines d’espoir ou le jardin d’un regard partagé, conçu par des étudiants de l’école Du Breuil et de l’école Boulle
  • le jardin n° 23, Le pollen exubérant, conçu par Yekaterina Yushmanova et Ruth Currey
  • le jardin n° 24, La salle à manger, conçu par un groupe d’étudiantes japonaises
  • les jardins zen : le jardin de méditation d’Erik Borja et Simon Crouzet et le jardin 7
  • les murs végétaux : le jardin 8 et les murs de Patrick Blanc
  • des oeuvres dans le château : La soupe verte de Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger, Jardins engloutis et Carnivores de Helene Schmitz, Atmosphère de Shin-Ichi Kubota
  • les oeuvres de Dominique Bailly dans le parc et les écuries et celles de Bob Verschueren (Dominique Perrault, Herman de Vries, Manfred Menz)
  • Colorès dans le vallon des brumes
  • les oeuvres de Tadashi Kawamata, de Dominique Perrault (avec de nouvelles photographies des oeuvres de Anne et Patrick Poirier, François Méchain, Victoria Klotz et Rainer Gross), dans le parc

9 réflexions sur « Chaumont-sur-Loire, festival 2011 (10): Dominique Bailly »

  1. cathycat

    C’est surprenant mais très esthétique je trouve… ce qui n’est pas toujours le cas de l’art moderne. En revanche (et ce qui a dû faire grincer les dents), je pense que tout cela a dû coûter très cher… mais bon, on ne peut pas tout avoir. Cela a le mérite d’être original.

    Bonne soirée. Merci de ton passage sur mon petit  blog.

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