Archives par étiquette : Kay Scarpetta

Sans raison de Patricia Cornwell

Couverture de Sans raison de Patricia Cornwell pioche-en-bib.jpgJe poursuis ma lecture des aventures de Scarpetta (voir les liens plus bas)… Emprunté à la médiathèque

Le livre : Sans raison, de Patricia Cornwell, traduction de Andrea-H. Japp, éditions des Deux Terres, 449 pages, 2006, ISBN 9782848930282. Il existe aussi en livre de poche.

L’histoire : en Floride, dans les années 2000… Kay Scarpetta est consultante à l’Académie nationale des sciences légales et enquête sur quatre disparition. Marino, l’ex-flic, n’est pas loin. Il découvre le corps d’une vieille dame juste assassinée sur son lit. Lucy, sa nièce, a une aventure avec une nouvelle fille. Johnny Swift, son médecin, a été assassiné ou s’est suicidé. Pendant ce temps, à des centaines de kilomètres, Benton Wesley participe à une recherche expérimentale d’IRM fonctionnelle sur le cerveau de criminels.

Mon avis : trop d’histoires parallèles, qui se recoupent certes, et se comprennent dans les cent dernières pages, mais cela manque un peu d’unité… Quant à rechercher par IRM des anomalies dans les cerveaux de criminels, je trouve cela inepte… J’espère que chez nous, les comités d’éthique refusent de telles recherches.

Pour aller plus loin : le site officiel en français de Patricia Cornwell.

Les aventures de Kay Scarpetta :

Et j’ai lu aussi la série Judy Hammer et Andy Brazil, il y a déjà longtemps : La ville des frelons, La griffe du Sud et L’île des chiens

 

Signe suspect de Patricia Cornwell

Couverture de signe suspect de Patrcia Cornwell pioche-en-bib.jpgJe poursuis ma lecture des aventures de Scarpetta (voir les liens plus bas)… Emprunté à la médiathèque

Le livre : Signe suspect, de Patricia Cornwell, traduction de Andrea-H. Japp, éditions des Deux Terres, 507 pages, 2005, ISBN 9782848930169. Il existe aussi en livre de poche.

L’histoire : le docteur Kay Scarpetta a quitté l’institut médico légal de Richmond, en Virginie, depuis cinq ans. Un jour, elle y est rappelé par celui qui l’a remplacée. Surprise à son arrivée, accompagnée de Marino, l’ex-flic qui travaille maintenant avec elle en Floride. Le laboratoire qu’elle avait mis tant de compétence à monter va à vau-l’eau. Longtemps resté sans responsable, le nouveau chef du service n’a aucune compétence, pas de diplôme adéquat, ne met jamais les pieds à la morgue, laisse le bâtiment se dégrader, emploie des stagiaires de l’armée qui ne sont pas correctement encadrés, laisse la bibliothèque dérangée… Même son ancien adjoint a profondément changé. C’est lui qui n’a pas réussi à déterminer la cause de la mort d’une adolescente de quatorze ans. Scarpetta reprend l’autopsie, et Marino l’enquête…

Mon avis : après Baton Rouge, trop violent et qui virait au n’importe quoi, j’ai failli abandonner la série. Lucy, la nièce de Scarpetta, et Benton, son ancien compagnon, apparaissent à peine dans cet épisode ; nous revenons à un rythme plus calme, une meilleure analyse psychologique des personnages, je lirai la suite…

Pour aller plus loin : le site officiel en français de Patricia Cornwell.

Les aventures de Kay Scarpetta :

Et j’ai lu aussi la série Judy Hammer et Andy Brazil, il y a déjà longtemps : La ville des frelons, La griffe du Sud et L’île des chiens.

Baton rouge de Patricia Cornwell

Couverture de Baton Rouge de Patricia Cornwell pioche-en-bib.jpgAprès le Dossier Benton, je poursuis les aventures de Kay Scarpetta par Baton Rouge, emprunté à la médiathèque (mais non, je n’achète pas tout ce que je lis, heureusement pour mes bibliothèques…).

Le livre : Baton rouge, de Patricia Cornwell, traduit de l’américain par Hélène Narbonne, collection Crime, éditions Calmann-Lévy, 440 pages, 2004, ISBN 9782702134153 (existe aussi en format poche).

L’histoire : alors qu’elle donne un cours de police scientifique, le docteur Kay Scarpetta soupçonne l’existence d’un tueur en série dans la ville de Baton Rouge en Louisiane, d’où vient justement l’une des stagiaires. Parallèlement, le juge de cette ville fait appel à elle, pour enquêter sur plusieurs disparitions de femmes. Très vite, elle se trouve plongée dans un cauchemar, voyant réapparaître le spectre des frères psychopathes qu’elle poursuit depuis longtemps, et dont l’un vient de réussir à s’échapper du couloir de la mort…

Mon avis : un récit assez embrouillé entre les différentes histoires emmêlées, où réapparaît Benton, mort officiellement il y a quelques volume… L’ambiance des marécages est d’autant plus poignantes que je garde un souvenir très net du dernier film de Bertrand Tavernier, Sous les brumes électriques qui se passait dans la même région. La position sur la peine de mort me gêne toujours autant…

Pour aller plus loin : le site officiel en français de Patricia Cornwell.

Les aventures de Kay Scarpetta :

Et j’ai lu aussi la série Judy Hammer et Andy Brazil, il y a déjà longtemps : La ville des frelons, La griffe du Sud et L’île des chiens.

Dossier Benton, de Patricia Cornwell

Et voilà, j’ai repris la lecture des aventures de Kay Scarpetta là où je les avais abandonnées, avec Combustion et Cadavre X.

Le livre : Dossier Benton, de Patricia Cornwell, traduit de l’anglais par Hélène Narbonne, Le livre de poche n° 17220, 542 pages, 2002, ISBN 978-2-253-172208.

L’histoire : Kay Scarpetta vient d’être sauvagement attaquée par le tueur en série Jean-Baptiste Chandonne, atteint d’hyper-trichose (il lui pousse plein de longs poils presque partout). Sa maison est envahie par la police, elle doit se réfugier chez une amie, lors que sa nièce Lucy, qu’elle a élevée comme sa fille, est contrainte de démissionner de son poste à l’ATF après avoir tiré peut-être pas en état de légitime défense… De victime, la légiste devient accusée, ne serait-elle pas responsable de la mort (épisode précédent) de la chef de la police qu’elle ne pouvait pas supporter ? Qui est à l’origine de cette machination ? Et Benton, que fait-il ici alors qu’il a été assassiné il y a deux volumes ?

Mon avis : un polar bien ficelé, difficile quand même à lire d’une traite (plus de 540 pages…). Je ne suis toujours pas d’accord avec les positions sur la peine de de mort (mais Scarpetta n’est pas vraiment pour non plus, contrairement à tous les autres protagonistes), ni avec ces légendes de loups-garous autour de l’hypertrichose… une forme génétique rare et sévère d’hirsutisme. Il en existe plusieurs variantes, à découvrir de préférence sur la plate-forme des maladies rares Orphanet… comme pour toutes les maladies rares.

Pour aller plus loin : le site officiel en français de Patricia Cornwell.

Les aventures de Kay Scarpetta :

Et j’ai lu aussi la série Judy Hammer et Andy Brazil, il y a déjà longtemps : La ville des frelons, La griffe du Sud et L’île des chiens.

Combustion, de Patricia Cornwell

Couverture de Combustion de P. Cornwell Il y a peu, je vous ai parlé de Cadavre X de Patricia Cornwell. Milkinise / Anne-Lise m’a rappelé la nécessité de lire ces épisodes dans l’ordre, ce que j’avais fait avec les huit premiers (jusqu’à Mordoc) que j’ai lus en collection d’œuvres complètes. J’ai donc repris à partir de Combustion, l’épisode qui suit Mordoc et précède Combustion.

Le livre : Combustion, de Patricia Cornwell, traduit de l’anglais par Hélène Narbonne, Le livre de poche n° 17134, 448 pages, 2000, ISBN 2-253-17134-4.

L’histoire : Kay Scarpetta vient de recevoir une lettre inquiétante de Carrie Grethen, son ennemie mortelle psychopathe, ex-amante de sa nièce Lucy et arrêtée, internée dans un hôpital psychiatrique en attendant son jugement. Au même moment, elle se rend sur les lieux d’un incendie criminel dans une ferme d’élevage de chevaux de course dont le riche propriétaire était absent, mais où une femme a trouvé la mort (ainsi que les chevaux). Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un incendie criminel, mais comment a-t-il été allumé ? Et l’on apprend que Carrie Grethen s’est évadée. Bento est envoyé sur ses traces.

Mon avis : un polar bien ficelé, qui se dévore d’une traite si l’on dispose de quelques heures devant soi… Je pense que je vais poursuivre la série là où je l’avais abandonnée…

Pour aller plus loin : le site officiel en français de Patricia Cornwell.

Les aventures de Kay Scarpetta :

Et j’ai lu aussi la série Judy Hammer et Andy Brazil, il y a déjà longtemps : La ville des frelons, La griffe du Sud et L’île des chiens.

Cadavre X, de Patricia Cornwell

Couverture de cadavre X? de Patricia Cornwell Le mois dernier, dans un commentaire sur mon article sur Le voleur de noël de Mary et Carol Higgins Clark, Zack me demandait si je connaissais les aventures du Kay Scarpetta, de Patricia Cornwell. J’en ai lu quelques unes, mais pas toutes. Du coup, quand je suis tombée sur un de ses livres (pour 0,20 euros…) à la brocante, je n’ai pas hésité…

Le livre : Cadavre X, de Patricia Cornwell, traduit de l’américain par Hélèe Narbonne, Le livre de poche n° 17182, 475 pages, 2006, ISBN 2-253-17182-4.

L’histoire : depuis la mort de son ami Benton, le docteur Scarpetta a du mal à surmonter le vide… D’autant plus que sa boîte mél piratée et un forum internet où quelqu’un se fait passer pour elle contribuent à la discréditer auprès de la nouvelle directrice adjointe de la police. Son ami l’inspecteur Pete Marino subit aussi des brimades de la part de sa nouvelle chef, qui le remet à patrouiller en uniforme au lieu d’enquêter. Le jour où un cadavre décomposé est retrouvé à bord d’un cargo belge faisant escale à Richmond, c’est une autre enquêtrice qui est sur les lieux (enfin, trop poule mouillée pour entrer dans le conteneur puant). Après l’autopsie, le cadavre ne peut être identifié, mais un étrange tatouage, dont la description est envoyée à Interpol, sera-t-il une bonne piste ? En tout cas, cela emmènera Kay Scarpetta et Pete Marino à Paris et à Lyon… Sans oublier les histoires parallèles, notamment avec la nièce de Scarpetta, Lucy, engagée dans la lutte contre un cartel de la drogue.

Mon avis : cette dixième enquête du Dr Kay Scarpetta est bien ficelée, pleine de rebondissements, de psychologie des personnages… ça me donne envie d’en (re)lire d’autres de cette série… J’en ai plusieurs dans ma bibliothèque, à l’occasion, je les relirai. Juste une réserve sur la définition du suicide (page 225 de l’édition que j’ai lue) :  » c’est une façon de faire un dernier caprice. Une façon de dire un grand « Na! » « . Et page 410, il n’y a pas des kilomètres entre l’île Saint-Louis et la morgue à Paris… C’est un petit bâtiment en briques à coté du pont d’Austerlitz, en face du jardin des plantes, juste au bout du port de l’Arsenal (un coin sympa pour ce balader, le port et le jardin, pas la morgue…).

Pour aller plus loin : le site officiel de Patrica Cornwell, en français.

Les aventures de Kay Scarpetta :

Et j’ai lu aussi la série Judy Hammer et Andy Brazil, il y a déjà longtemps : La ville des frelons, La griffe du Sud et L’île des chiens