La femme en vert de Arnaldur Indridason

Couverture de la femme en vert d'Indridason Après avoir lu La voix et la Cité des jarres, j’ai eu envie de lire un autre livre de cette série.

Le livre : La femme en vert de Arnaldur Indridason, collection une enquête du commissaire Erlendur Sveinsson, collection Points policier, P 1598, 2007, 348 pages, ISBN 978-2-7578.0317.2. Traduit de l’Islandais par Éric Boury. Grand prix littéraire des lectrices Elle 2007, prix clé de verre du roman noir scandinave, prix CWA Gold Dagger 2005.

L’histoire : dans la banlieue de Reykjavik. La ville s’étend sur des terrains où étaient autrefois des maisons d’été et, pendant la Seconde guerre mondiale, un baraquement anglais puis un dépôt de vivres américain. Lors de la fête d’anniversaire de son grand frère, une petite fille est retrouvée en train de mordiller une côté humaine. Très vite, on trouve d’où vient cet os. Erlendur Sveinsson, devenu commissaire, décide de faire dégager le corps par des archéologues (très lents, tiens, ça me rappelle quelque chose) plutôt que par la police scientifique. Le corps semble avoir été enterré il y a une cinquantaine d’années. En parallèle, le récit d’une femme battue, violemment battue, par son mari, avec trois enfants, dont une petite fille handicapée suite à une méningite infantile. Cette histoire de femme battue rappelle beaucoup un autre livre que j’ai lu il y a peu de temps (Ondine Khayat, Le pays sans adultes). Une troisième histoire interfère, celle de Eva, la fille du commissaire, que nous avions quittée enceinte, en voie de sevrage de drogue et réfugiée chez son père, que l’on retrouve dans le coma et en train de faire une fausse-couche.

Mon avis : un roman sombre, mais vraiment très bien monté.

Les livres de la série que j’ai lus :

logo tour du monde en lecture J’ai sélectionné ce livre pour le tour du monde en lecture proposé par Livresque.

Logo du challenge ABC critique de BabelioJ’ai sélectionné ce livre pour le défi ABC critique organisé par Babelio.

6 réflexions sur « La femme en vert de Arnaldur Indridason »

  1. Bidoullette

    Ahhh encore un qui a une fille! Toujours des romans bien sombres, mais bon forcément, dans ce genre, mis à part l’humour, on peut pas demander plus! J’ai noté, la prochaine fois, je regarde si j’oublie pas mon calpin, je suis au bout des Mankell, quoique j’ai vu en librairie eux autres, mais pas avec notre ami le commissaire!

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