Je suis en train de faire le point des articles promis pour l’avenir et que je n’ai pas mis en ligne parce que j’avais d’autres sujets d’actualité… Je ne procrastine plus, enfin, plus dans ce domaine, . Mais pour mars où je n’aurai pas trop la tête à écrire, je vais programmer les articles pour tout le mois ce week-end et laisser juste quelques trous pour l’actualité des SAL/HAL en cours… Je complèterai au fur et à mesure ce que j’ai préparé s’il y a de l’actualité à ajouter.
Je commence donc le rattrapage du retard par Paradis de Romeo Castellucci, que j’ai vu il y a déjà quelques semaines. Il s’agit d’une installation librement inspirée de Dante, disait la présentation du spectacle au TAP/théâtre auditorium de Poitiers (sur la même page, la liste des co-producteurs…). La trilogie Enfer/Purgatoire/Paradis avait été présentée l’été dernier au festival d’Avignon, et la même semaine que le Paradis était présenté l’Enfer (que je n’ai pas vu), le Purgatoire devrait être donné la saison prochaine.
Il s’agissait donc d’une installation qui avait demandé une grande préparation. Tous les sièges de la salle d’auditorium (la salle fait plus de 1000 places, mais il y en a au balcon) avaient été démontés, et un grand cube peint en blanc installé dans la pièce. C’est là que ça se gâte… Il faut d’abord entrer dans une première pièce noire, là, un bruit d’eau attire le spectateur (5 à la fois, pour 5 à 10 minutes) dans une deuxième pièce, où il faut pénétrer en passant par une sorte de buse de 800 (80 cm), peut-être 1000 ? Un rideau d’eau coule, et sur l’arête en haut, un danseur se contorsionne, puis un liquide rouge dégouline le long de la paroi… Le rapport avec le Paradis de Dante ? Pas compris de mon côté (ni des personnes présentes en même temps, ni d’autres personnes qui ont vu cette performance). La notice parlait ‘expérience intime, certes, mais qui est censé interroger le spectateur sur sa place dans le monde, alors là, ?????
Si quelqu’un a vu la performance dans une autre ville ou ici, je suis preneuse de vos avis et vécus…
Post-scriptum : en 2010, j’ai vu Hey Girl, je n’ai pas du tout aimé.En 2012, j’ai vu The Four Saisons Restaurant.
J’avais vu un reportage aux infos régionales sur ce spectacle, et cela avait l’air pour le moins… étrange, dirons-nous sobrement !! Mais je vois que c’était encore pire de l’intérieur !! Bises !
Je trouve la fonction de programmation vraiment très pratique et je vais aussi l’utiliser mais pour les vacances de Pâques où je ne serai pas là… Bonne soirée !