A la recherche de Shanghai de WANG Anyi

Couverture de A la recherche de Shanghai de WANG Anyi pioche-en-bib.jpgJ’ai trouvé ce livre à la médiathèque parmi une sélection de nouvelles acquisitions. Je mets en majuscule le nom, en premier comme pour les auteurs chinois et pour respecter la présentation de l’éditeur.

Le livre : A la recherche de Shanghai de WANG Anyi, traduit du chinois par Yvonne André, collection écrits dans la paume de la main, éditions Philippe Picquier, 2011 (le copyright au début est de 2010, l’achevé d’imprimé de février 2011), 120 pages, ISBN 978-2809702415.

L’histoire : des nouvelles qui ont toutes pour cadre Shanghai, d’hier et d’aujourd’hui, d’ailleurs plus d’hier… Shanghai, village de pêcheurs, rivale de Pékin, loin de la mégalopole d’aujourd’hui dont il est question au début du livre.

Mon avis : des nouvelles à lire pour découvrir cette ville, mais attention, il n’y est pas question de politique de la Chine, pas même dans Shanghai et Pékin, qui aborde la rivalité des deux villes par les ruelles, les temples, les dialectes, rien d’autre… Mais aussi cinq jolis contes à la fin, enfin, sur une bonne moitié du livre, dans Rêve de prospérité à Shanghai, avec un monde de pêcheurs, l’attente du retour à terre… Une rêverie à lire en ville ou près de la mer…

logo tour du monde en lecture Ce livre entre dans le cadre du défi du tour du monde des livres, organisé par Livresque, au titre de la Chine, en complément de La montagne de l’âme de Gao Xingjian, auteur français d’origine chinoise, pour ce livre écrit en chinois, prix Nobel de littérature en 2000 pour la France.

5 réflexions sur « A la recherche de Shanghai de WANG Anyi »

  1. Dane

    J’aime bien la littérature asiatique moi aussi ! il a l’air bien. Il faut absolument que j’aille à la bibiliothèque de Mignaloux sinon je finirais par me ruiner en livre (déja que je me ruine en livres de patch et broderie alors ….)

     

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  2. dalinele

    je viens de retrouver un extrait de livre qui explique les noms chinois justement… ils ont en fait très peu de noms de famille différents. en mettant des majuscules on s’y retrouve mieux, sinon c’est pas évident pour nous. je note le livre; j’ai enfin emprunté « rosa candida », mais je dois terminer le roman policier japonais avant… bonne journée, je vais décoller de la tapisserie pour changer un peu… 

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