 Si le froid s’installe, il va falloir que je me couvre plus. L’année dernière, je ne travaillais pas et le snood offert par Maryse suffisait en journée. Mais maintenant que je retravaille normalement, je pars tôt et il va falloir me couvrir les oreilles. J’ai donc plongé dans mon placard en vue d’une séance d’essayage…
Si le froid s’installe, il va falloir que je me couvre plus. L’année dernière, je ne travaillais pas et le snood offert par Maryse suffisait en journée. Mais maintenant que je retravaille normalement, je pars tôt et il va falloir me couvrir les oreilles. J’ai donc plongé dans mon placard en vue d’une séance d’essayage…
 Pas la peine de rêver, le bonnet et écharpe est trop serré, bien chaud, bien enveloppant, mais c’est encore impossible pour moi de le porter sans déclencher des paresthésies / décharges électriques.
Pas la peine de rêver, le bonnet et écharpe est trop serré, bien chaud, bien enveloppant, mais c’est encore impossible pour moi de le porter sans déclencher des paresthésies / décharges électriques.
 À l’essayage, en me « forçant un peu », j’arriverais peut-être à porter ma casquette au tricot, moins serrée, à condition d’enlever le renfort plastifié dans la visière (ouf, je l’avais prévu amovible pour la lessive). Je n’y avais pas pensé au premier essayage, et elle frotte juste sur le front dans un secteur qui a déclenché des décharges et sensations très désagréables. Sans, ça passera sans doute si je ne la porte pas trop longtemps (genre de l’arrêt de bus Notre-Dame au bureau, chez moi, l’arrêt est juste sous ma fenêtre).
À l’essayage, en me « forçant un peu », j’arriverais peut-être à porter ma casquette au tricot, moins serrée, à condition d’enlever le renfort plastifié dans la visière (ouf, je l’avais prévu amovible pour la lessive). Je n’y avais pas pensé au premier essayage, et elle frotte juste sur le front dans un secteur qui a déclenché des décharges et sensations très désagréables. Sans, ça passera sans doute si je ne la porte pas trop longtemps (genre de l’arrêt de bus Notre-Dame au bureau, chez moi, l’arrêt est juste sous ma fenêtre).
 À l’occasion de cette plongée dans le placard à manteaux etc., j’ai aussi retrouvé cette « panoplie » hivernale, tricotée il y a fort longtemps (sans doute un modèle Phildar), avec une laine vert vif, ça plairait à Maryse côté couleur! J’avais tricoté la totale, chaussettes, écharpe, gants (je me souviens de m’être bien « amusée » avec les doigts) et bonnet. Les chaussettes sont extras en intérieur pour « pantoufler »!
À l’occasion de cette plongée dans le placard à manteaux etc., j’ai aussi retrouvé cette « panoplie » hivernale, tricotée il y a fort longtemps (sans doute un modèle Phildar), avec une laine vert vif, ça plairait à Maryse côté couleur! J’avais tricoté la totale, chaussettes, écharpe, gants (je me souviens de m’être bien « amusée » avec les doigts) et bonnet. Les chaussettes sont extras en intérieur pour « pantoufler »!
[Clic sur les vignettes ou les liens pour voir les anciens articles, je n’avais jamais publié cette « panoplie »].
 En fait ces chaussettes sont un prétexte pour vous parler du Chili en 1985, à l’époque du régime dictatorial d’Augusto Pinochet bien en place et déterminé à rester au pouvoir manu militari.
En fait ces chaussettes sont un prétexte pour vous parler du Chili en 1985, à l’époque du régime dictatorial d’Augusto Pinochet bien en place et déterminé à rester au pouvoir manu militari. Nella, pour s’occuper lors de ces discussions, tricotait des bonnets, des écharpes et/ou des chaussettes pour l’hiver pour toute la famille. J’ai alors eu envie de l’accompagner, et elle est allée chercher son sac à laines (équivalent à celui que Véronique nous montrait il n’y a
Nella, pour s’occuper lors de ces discussions, tricotait des bonnets, des écharpes et/ou des chaussettes pour l’hiver pour toute la famille. J’ai alors eu envie de l’accompagner, et elle est allée chercher son sac à laines (équivalent à celui que Véronique nous montrait il n’y a  Des chaussettes bien sûr, et en m’inspirant d’une paire qu’elle faisait en grosse laine écrue et marron, j’ai commencé un dessin. En tâtonnant un peu au début pour mélanger les couleurs, ce n’était pas évident, j’ai réussi à faire cette paire qui reste pour moi un souvenir inoubliable et un témoignage d’une belle amitié. Elle m’a fait cadeau de celle qu’elle faisait avec moi et c’est mon fils aîné qui les porte le soir en guise de chaussons.
Des chaussettes bien sûr, et en m’inspirant d’une paire qu’elle faisait en grosse laine écrue et marron, j’ai commencé un dessin. En tâtonnant un peu au début pour mélanger les couleurs, ce n’était pas évident, j’ai réussi à faire cette paire qui reste pour moi un souvenir inoubliable et un témoignage d’une belle amitié. Elle m’a fait cadeau de celle qu’elle faisait avec moi et c’est mon fils aîné qui les porte le soir en guise de chaussons.