Un album trouvé dans les bacs de la médiathèque.
Le livre : Une semaine sur deux, de Pacco, éditions Fluide-Glacial-Audie, 2002, 161 pages, ISBN 9782352071709.
L’histoire: de nos jours aux environs de Saint-Jean-de-Luz. Pacco vient de se séparer de sa compagne, emménage dans un appartement avec sa fille Maé, 6 ans, dont il a la garde alternée une semaine sur deux. Le voici à essayer de préparer des repas (les pizzas surgelées, c’est bien prratique), lire les histoires, gérer une petite fille très active, mais aussi essayer de continuer son travail de dessinateur, sans oublier les loisirs (surf et guitare).
Mon avis : je n’ai pas lu les précédentes aventures de la série Maé, ni la suite d’ailleurs… L’emménagement, les journées avec Maé, les semaines avec les copains, un récit de la vie quotidienne d’un papa à mi-temps avec de petites histoires ou situations sur une ou deux pages. Une fillette vive, qui ne semble pas soufrir de la séparation de ses parents (ou bien c’est ce que son père veut nous faire croire?), des situations plutôt drôles, même si rien ne semble vraiment très original et est trop centré sur le père et la petite fille, un peu comme s’ils vivaient dans une bulle, quasiment sans monde extérieur. Même si on aperçoit des mamans au parc, des copains, la plage ou une visite à Paris pour remettre des planches, tout tourne autour de Pacco. Une chronique de la vie quotidienne très égo-centrée. Un moment agréable, mais pour des aventures de célibataire, puis de mari et enfin de père avec plus de profondeur, je vous conseille plutôt les albums de Guy Delisle, et notamment ses Chroniques de Jérusalem pour le volet « jeune papa » (il faut que je trouve son Guide du mauvais père, pour compléter…).
Pour aller plus loin : voir le blog de Pacco.
Cette BD sera soumise pour le classement du TOP BD des blogueurs organisé par Yaneck / Les chroniques de l’invisible. Mes chroniques BD sont regroupées dans la catégorie pour les BD et par auteur sur la page BD dans ma bibliothèque.
Bof, désolée, mais ça ne me dit rien…
maé, ça me dit vaguement qqchose… sinon ce thème fut aussi abordé par le dessinateur finlandais non? oublié son nom… je n’ai plus qu’un bras et une main… Mauviette est couchée sur l’autre bras et l’autre main; je n’ose plus bouger…