Allez, c’est reparti pour le VAN / Voyage à Nantes (site officiel), pour revoir les autres épisodes, voir les liens en fin d’article ou chez Mamazerty…. N’hésitez pas non plus à suivre les liens vers les sites des artistes ou autres… J’y étais par un week-end pluvieux, du 6 au 8 juillet 2012, et ai déjà participé à la manifestation Estuaire 2007 (je n’avais pas pu y aller en 2009).
Aujourd’hui, nous allons grimper!
Deux plates-formes / points de vue et une sorte de nid ont été installés dans trois points du centre-ville par Michel Bertreux, Francis Miguet et Michel Dudon, professeurs à l’école nationale supérieure d’architecture de Nantes, leurs étudiants et ceux de l’école supérieure du bois de Nantes…
Je commence par Supérama, sur le quai de la Fosse… Je suis passée la première fois dessous, gênée par l’échafaudage qui la porte dans la ruelle / rue d’Ancin (les escaliers du film Lola de Jacques Demy) en descendant du musée d’Aubret vers la Loire… sans la voir !
C’est en me retournant depuis le mémorial de l’esclavage (dont je vous reparlerai) que je l’ai vue, émergeant, immanquable, au-dessus du quai!
Trois personnes à la fois maximum dans la structure, mais il y avait une toute petite queue, voici donc ce que ça donne depuis le haut…
Dans le quartier Bouffay se trouvent deux autres installations. La première, le Voronoï, rue de la Tremperie, se trouve dans une rue déserte le matin de bonne heure (surtout le dimanche ), mais au-dessus d’une rue qui grouille dès le soir venu. Selon la description officielle, « depuis une plateforme située au cœur d’un ellipsoïde en polygones de Voronoï (alvéoles mathématiques correspondant à une décomposition particulière de l’espace selon des phénomènes de croissance), on ne perçoit la totalité de l’environnement extérieur que d’un seul point : le centre de la plateforme ». Bon, il y avait la queue sur celle-ci, je ne suis pas montée vérifier…
La troisième installation, Bolduq, a pris place entre des arbres rue de l’Emery. Elle se présente comme un nid de rubans entremêlés, qui se balance au vent et reflète la lumière quand un rayon de soleil arrive à percer.
Voir d’autres commentaires et les photographies prises par Mamazerty sur ces trois plateformes en suivant ce lien direct.
Mais si vous voulez grimper, il y a aussi le Mont Royal(e), créé par Block Architectes. Il a été installé place royale, au-dessus de la fontaine de la Loire où, pour Estuaire 2007, se trouvait un hôtel éphémère. A l’extérieur se trouve un mur d’escalade vert éclatant, les créateurs ont voulu reconstituer la forme du Mont Gerbier de Jonc – où la Loire prend sa source, extérieur lisse du côté de l’entrée dans la structure. Voir chez Mamazerty d’autres vues et commentaires lors l’installation de puis sur l’extérieur et sur l’intérieur.
Et voici mes photos à l’intérieur…
Mon voyage à Nantes:
– un premier aperçu,
– croisière de Nantes à Saint-Nazaire : le début et la fin du trajet
– à Saint-Nazaire
– ça grimpe : trois plates-formes et le mont Gerbier de Jonc
– au jardin des plantes : avec des plantes et des œuvres contemporaines
– sur l’île de Nantes : à l’ouest et au centre
– en ville : le début et la suite du parcours, de l’art dans la rue
bonne semaine
Marrantes, ces structures !! Bisous et bonne journée !
superbe ces plateformes c’est original, j’aime bien les paniers mais je ne monterai pas les essayer, trop la troulle du vide ! bisous et merci de la ballade a Nantes
impressionnant !!! cela doit être bluffant en vrai ! bises cath
on ne peut pas monter dans la troisème, non ? Elles sont sympas ces structures point de vue !
Non, pas d’accès à la dernière, mais c’est assez sympa! Bonne journée!
Bonjour,
il semble qu’il y ai une petite confusion entre Bolduq et Voronoï. En effet, il ne pouvait pas y avoir la queue au Voronoï (la stucture en miroir) puisqu’il s’agit d’une sorte de Kaléïdoscope géant à contempler. En revanche on peut bien grimper dans le Bolduq (la structure en bois et en acier) !
cordialement.
Merci pour votre commentaire… Je corrigerai à mon retour de vacances, j’ai une connexion lente, impossible de la faire d’ici…