Côté musique, j’avais commencé à récupérer des chansons de Béranger interprétées plus ou moins récemment :
- Richard Wagner : Les adieux de Marie Stuart
- Serge Hureau : Paillasse ; Le pape musulman ; Les souvenirs du peuple
- Michèle Bernard : Les cinq étages ; Jeanne La Rousse ; Ma grand-mère
- La Chiffonie : Le Larron
- Jean-Louis Murat : La Liberté ; Le cinq mai ; Le mort vivant ; Ma République ; La chatte ; Waterloo ; La fortune ; À ma filleule ; Le pape musulman ; Les souvenirs du peuple ; La petite fée ; La bacchante ; La fille du fossoyeur ; Jeanne la rousse
- Édouard Lalo, Six romances : La pauvre femme ; Beaucoup d’amour ; Le suicide ; Si j’étais petit oiseau ; Les petits coups ; Le vieux vagabond
- François-Adrien Boïeldieu : Adieu, charmant pays de France
- La Comtesse : La petite ouvrière
- Charles Gounod mise en musique de : Le Juif-errant, musique publiée en 1861 ; Les champs ; Mon habit, musique publiée en 1855.
Le hall de la chanson, à Paris, lui a rendu un hommage en décembre 2007. Le site propose aussi une biographie de Béranger.
Ma mère s’est suicidée quelques jours après son soixantième anniversaire, sans que je puisse lui donner les cadeaux que j’avais prévu, à l’exception d’un livre original de chansons de Béranger, mais j’avais aussi prévu de lui donner lors de la fête prévue quelques semaines plus tard un classeur sur Béranger avec des textes de ses chansons, une discographie actuelle de chanteurs qui ont été inspiré par Béranger, des photos d’assiettes et de lieux parisiens autour de Béranger toujours et je lui avais cousu un petit âne.