Un livre trouvé au rayon large vision de la médiathèque.
Le livre : Un week-end meurtrier d’Alain Gandy éditions Presse de la Cité, 2009, 240 pages, ISBN 9782258076808 (lu en large vision, éditions Feryane, il ne semble plus être au catalogue).
La présentation de l’éditeur :
« Semaine de Pâques, 1980. Un autocar d’Aveyronnais nostalgiques de leur région natale a dérapé sous un orage et basculé dans les gorges de l’Aveyron. Il n’y a aucun survivant… On charge le juge d’instruction Massac de l’affaire, qu’il croit liée à de sombres magouilles immobilières. Il recommande comme enquêteur son vieil ami Joseph Combes, devenu détective privé après une brillante carrière dans la gendarmerie. Fidèlement épaulé par son épouse Claire, – qui s’occupe activement de leurs deux enfants et sait lui inspirer des pistes judicieuses pour ses enquêtes – Combe découvre qu’en réalité le conducteur du car a été tué par une arme à feu et que huit des passagers inscrits s’étaient désistés. Alors, quelle est la cause réelle de cet accident présumé ? Malveillance ? Machination financière aux allures de complot ? Ou bien crime ordinaire ?»
Mon avis : je ne connaissais pas du tout cet auteur, mais le rayon basse vision regorge de romans (polars ou non) dits « du terroir ». Quoique, ici, il est plus questions des différents personnages, Aveyronnais de Paris ou en Aveyron, que des paysages. Retour quelques décennies en arrière, pas de TGV puis correspondance avec des trains régionaux, mais un train de nuit entre Paris et Rodez… et bien sûr pas de téléphone portable, une enquête « de terrain » à l’ancienne, un enquêteur privé recruté par un juge (qui embauche sa femme et ses enfants), pas de police scientifique! Ça repose, finalement, un polar calme…