Je suis allée voir au cinéma Océans, de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud. Après le peuple migrateur et les insectes, plongée dans l’océan, avec de très belles images… et des espèces que l’on ne voit pas souvent, comme les iguanes des Galapagos, observés en son temps par Darwin (avec les pinsons) dans les années 1830… et qui lui serviront de matériaux trente ans plus tard pour son traité sur l’origine des espèces (mais il n’en est pas question dans le film). Bon, pour le film, de belles images, et parfois un discours moralisateur pas très utile, avec des dialogues entre Jacques Perrin et son jeune fils Lancelot, des amalgames entre la chasse au thon et celle aux ailerons de requin (ah les Japonais…). Comme les noms des espèces ne figurent pas du tout dans le film, une petite visite (avant et/ou après) au site internet officiel du film et en particulier à la rubrique espèces s’impose… Certaines scènes sont impressionnantes, comme ces oiseaux qui plongent par centaine en piqué dans un banc de poissons.
Sinon, franchement, j’ai préféré l’année dernière au Futuroscope, dans la salle du tapis magique (où sont longtemps restés les papillons Monarques, une salle avec un écran géant devant soi et sous ses pieds), le film également de Jacques Perrin, Voyageurs du ciel et de la mer.
Pour les curieux de Charles Darwin, vous pouvez lire l’archipel Galapagos et les attoles ou îles de coraux, dans le tome 2 (Andes, Galapagos, Australie) du Voyage autour du monde d’un naturaliste , paru en anglais en 1858 et traduit en français en 1860. Vous pouvez retrouver l’édition de 1875 dans la bibliothèque nationale numérique /Gallica.
j’espère que ton moral est bon quand même 😉
un souvenir marquant ,ces monarques qui sont très respectés au Yucatan ..
je t’envoie un mail plus perso
bizzzzzzzz
jz
il parait que c’est à voir! mais irai je? ça c’est une autre question
Je suis contente d’avoir ton avis car je pensais que ça aurait été intéressant
Enfin, il ne peux pas tout réussir nonplus
Gros bisous
béa
Il n’est pas vraiment mauvais, il m’a surtout déçue, j’en attendais sans doute plus… Et le côté moralisateur m’a vraiment agacée, il aurait dû choisir, soit un reportage écolo-moralisateur, soit de belles images exceptionnelles…
Je suis aussi allée le voir il y a déjà quelques semaines, et je l’ai trouvé superbe, on en prend plein les yeux
Mais c’est vrai que la partie moralisatrice était de trop à mon gout, ça gaché la beauté des images (même si bien sûr à ce moment là les images n’étaient pas belles)
Bises
Annelise
Je pense que j’auraixs domme toi été décue car j’ai vue le reportage à la télévision mais on ne peut pas de faire vraiment une opinion car ils parlaient surtout des toutes nouvelles techniques mises au point.
Il est évident que les images vues étaient très belles
Gros bisous
béa
C’est un film qui me tente pour ses belles images…
Darwin et les Galapagos me fait immanquablement penser au film « Master and Commander » ; l’as-tu vu ?
Non, je ne l’ai pas vu… Un grand merci pour les coupons de tissus!!! J’en ferai bon usage, LOL!
Toujours notre fameux chroniqueur cina à la RTBF avait dit qu’on ne voyait pas plus que dans un excellent reportage. Tu dis la même chose, pffft! Enfin si çà peut éveiller certaines consciences……
Je suis toujours méfiantes des grandes épopées vers tel ou tel film…………;;
Tu me diras si tu as pu utiliser le lin pour broder ? Bisous
Mon avis rejoint le tien! En fait, je suis si sceptique, si mitigée à propos de ce film que je n’ai même pas pris le temps d’en faire un billet.
Les interventions de Perrin et son petit-fils sont clairement en trop! A mon sens…
Le discours si mince est complétement inutile… Trop consensuel, pas assez approfondi, ni même précis… Et surtout pas adressé aux vraies « personnes » concernées…
Et les images ont beau être belles, magnifiques même, on ne sait même pas « qui » est filmé, ni où…
J’en suis sortie vraiment frustrée.
Moi aussi, cela m’a gênée de ne pas savoir ce que je voyais ni où cela a été filmé. même si après, j’ai trouvé les infos sur le site internet du film…
pour ma part, je suis sortie boulversée tout autant que ma fille. La salle est restée jusqu’à la fin du générique, un grande émotion est passée ce soir là. J’irais le revoir avec grand plaisir, pour ses grands contrastes, ses violences et ses silences.