Le dernier rêve de la colombe Diamant, d’Adrian Hyland

Logo du challenge du un pour cent rentrée littéraire 2009 Couverture du dernier rêve de la colombe diamant de Hyland Avec ce livre, j’atteins le 1% des livres lus dans le cadre du challenge du 1 % rentrée littéraire 2009, organisé par la Tourneuse de page, et qui prévoit de lire et chroniquer d’ici juillet 2010 au moins 7 livres. Je vais poursuivre mes lectures jusqu’en juillet. Je l’ai acheté après avoir lu une critique dans le Monde des livres et noté la référence dans le petit carnet offert par Emmanuelle.

Le livre : Le dernier rêve de la colombe Diamant, d’Adrian Hyland, traduit de l’anglais (Australie) par D. Fauquemberg, collection Domaine Policier, n° 4266, 10/18, 410 pages, octobre 2009 (inédit), ISBN 9782264047755.

L’histoire : dans un trou perdu au fin fond de l’Australie, aujourd’hui. La petite communauté aborigène de Moonlight Downs y vit dans un campement près de Bluebush. Emily Tempest, fille d’une aborigène et d’un prospecteur géologique / chercheur d’or revient voir cette communauté où elle a passé son enfance et dont elle est partie à l’adolescence pour d’obscures raisons. Mai le lendemain de son arrivée, le chef de la communauté est retrouvé assassiné. Est-ce par le sorcier, avec qui il a eu une violente dispute la veille au soir ? Quel est le rôle de l’amie d’enfance d’Emily, dont le rêve est une colombe Diamant ? Et les relations avec les éleveurs voisins, qui s’opposent au fait de devoir rendre des terres aux aborigènes ? Avant même que la police n’arrive, la communauté s’est dispersée, Emily se réfugie à Bluebush, où elle trouve un petit boulot de serveuse, retrouve des amis d’enfance et bientôt son père, de passage dans le secteur…

Mon avis : un premier polar qui m’a passionnée, surtout pour la description de l’Australie profonde d’aujourd’hui, la confrontation entre des hommes travailleurs esseulés et alcooliques dans la petite ville, des aborigènes qui tentent de maintenir leurs traditions (ou d’y revenir), et des grands éleveurs qui ne pensent qu’à leurs troupeaux…

Sur le même sujet : il y a quelques années, toujours chez 10/18, j’ai dévoré la série des Napoléon Bonaparte, policier aborigène, de Arthur Upfield, même s’ils se passent plutôt dans les années 1950/1960. Pour mieux comprendre le rôle du rêve et la vie des aborigènes, je vous conseille le chant des pistes, de Bruce Chatwin (première édition en 1987).

logo tour du monde en lecture J’ai sélectionné ce livre pour le tour du monde en lecture proposé par Livresque.

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