La lettre de Buenos Aires de Hubert Mingarelli

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pioche-en-bib.jpgIl y a quelques mois, Télérama avait décerné la plus haute distinction (le bonhomme qui sourit avec une étoile) à ce recueil de nouvelles… et j’avais noté le titre dans mon carnet. Je l’ai trouvé à la médiathèque dans une sélection de nouvelles acquisitions.

Le livre : La lettre de Buenos Aires de Hubert Mingarelli, éditions Buchet Chastel, 2011, 181 pages, ISBN 9782283024867.

L’histoire : neuf nouvelles sans repère chronologique ni lieu : un marin rentre de Buenos Aires dans la nouvelle qui a donné son titre au recueil, mais on ne sait pas dans quel port il a débarqué), sauf pour Port-au-Prince, qui se passe au large de cette vile où des émeutes ont eu lieu, un homme mort gît sur le quai, l’équipage ne peut pas descendre. Un homme pauvre vit seul au bord de la mer avec une souris pour compagne (pourvu qu’elle ne lui mange pas ses maigres provisions) dans Un seul est parti, un autre homme seul s’exile dans la forêt avec des provisions pour tenir un hiver (et voir l’ours dans pas d’hommes pas d’ours, etc. Des hommes, isolés, souvent marins ou ex-marins, la pauvreté, le bord de mer, la rivière, la forêt pour cadre de vie…

Mon avis : je ne suis pas du tout aussi enthousiaste que Télérama. Des textes lents, reposants avec peu d’action, mais je n’ai pas été particulièrement séduite par ces textes, lus pourtant au bord de la rivière, dans mon jardin par un beau dimanche de fin septembre… avec un poulet rôti, poires à la grenadine et purée de pâtisson dans le ventre… Une bonne condition en théorie pour lire des nouvelles calmes…

6 réflexions sur « La lettre de Buenos Aires de Hubert Mingarelli »

  1. dianou

    bonjour merci pour le choix , je ne sais pas ce qui se passe je ne reçois plus aucun avis d’articles , ni hier ni aujourd’hui ni dans les indésirables, il faut que je cherche dans ma poubelle perso , tu as des ennuis aussi ? bisous ma belle, dianou

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  2. dalinele

    juste pour info, je viens de recevoir l’avis de publication de ton article.

    pour ce qui est de té »lérama, quand je vois ce qu’ils écrivent pour les films (critiques reproduites dans le programme du théâtre) je ne m’en fais pas une référence, leur « langage » n’est pas le mien…

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