Poitiers, des nouvelles de coeur d’agglomération

Poitiers coeur d'agglo, 26 février 2011, 1, derrière l'hôtel de ville J’avais fait une série de photographies de l’avancée du chantier le 26 février 2011, ça a un peu avancé depuis (notamment avec l’apparition des bancs sur la place d’armes, vous en verrez un demain (vers la fin de l’article) pour le nouveau défi organisé par Monique / Bidouillette / Tibilisfil). À l’arrière de l’hôtel de ville, il y a encore une belle réserve de pavés… Nous sommes là juste à côté de l’hôtel de Beaucé (1554).

Poitiers coeur d'agglo, 26 février 2011, 2, petits pavés D’ailleurs, cette photographie aurait pu participer au défi sur les trottoirs pavés. Bon, il faisait un temps de chien, ce jour-là, c’était le week-end des giboulées et du défi des nids douillets.

Poitiers coeur d'agglo, 26 février 2011, 3, la place et les nouveaux escaliers Devant, un escalier est en train d’être construit…

Poitiers coeur d'agglo, 26 février 2011, 4, la place et l'horrible Printemps …et sauf pour l’horrible Printemps (il a empiré, des filets de sécurité retiennent maintenant des plaques qui se détachent), les travaux de ravallement vont bon train.

Poitiers coeur d'agglo, 26 février 2011, 5, quel chantier! Le chantier s’est déplacé depuis, mais cela vous donne une idée des troubles subis par les magasins, les riverains et les passants. Sans compter que d’autres chantiers, de gaz par exemple, ont aussi lieu… et viennent de détruire sur plusieurs dizaines de mètres des restes des arènes romaines non pas rue Bourcani, là où je vous les ai déjà montrées, mais rue… des Arènes romaines. Après de multiples petites destructions qui ont fini par s’arranger, cette fois-ci, ça chauffe, la dose de destructions supportables ces dernières années à Poitiers a été dépassée! Les travaux sont arrêtés à cet endroit dans l’attente d’une solution (relevé et fouilles de ce qui reste… les ouvriers ont dû déjà bien insister pour casser le béton romain, le maître d’ouvrage semble avoir oublié de saisir le service de l’archéologie AVANT les travaux et a aussi décidé de poursuivre sans arrêter le chantier).

Poitiers coeur d'agglo, 26 février 2011, 6, rue Saint-Hilaire Rue Saint-Hilaire, finalement, il suffisait de demander… Les voitures qui se garent sur les plots sont maintenant assez souvent verbalisées et il y en a de moins en moins, et les plots ont été peints en blanc, ils sont moins dangereux… Au passage, vous voyez le lampadaire voisin du premier que je vous ai montré ici.

9 réflexions sur « Poitiers, des nouvelles de coeur d’agglomération »

  1. Amaryllis

    Difficiles les travaux dans une ville… nous avons supporté à reims 3 ans de travaux pour le tramway… des commercants ont du fermer boutique… cela n’empeche pas la ville de fêter la mise en service avec des festivités d’un montant de près d’un million d’euros… ils doivent etre contents ceux qui ont déposé le bilan !!!

    Répondre
  2. jardin zen

    quelle logique dans tout cela  !!!!!!!!!!!!!!
    oups ,je suis perdue pour l’échange d’atc rouges ,blog à qui envoyer les photos ???
    j’ai dû dépasser le délai ,je pense 
    désolée …..
    bizzzzzzzen

    Répondre
    1. Véronique D

      il fallait les envoyer à Lili HR, j’ai envoyé pour nous deux… Lili demandait si l’échange s’était bien passé (je lui avait envoyé la mienne début mars)! Article programmé chez moi la semaine prochaine

      Répondre
  3. dalinele

    tu la trouves ciomment cette place de l’hôtel de ville? j’y suis passée la semaine dernière, et ça fait un peu.. vide, sans âme je trouve… je suis plutôt déçue pour le moment…

    Répondre
    1. Véronique D

      Avec le nouvel escalier, l’hôtel de ville a complètement perdu ce que voulais l’architecte du 19e, une montée vers un lieu symbolique. Il va y avoir qq autres bancs sur les côtés, mais le milieu sera minéral à fond (et très éblouissant pour l’instant) puisque le choix a été fait de pouvoir accueillir des chapiteaux. Je trouve aussi la place moche pour l’instant, mal aux yeux dès qu’il y a du soleil, les lampadaires n’éclairent pas du tout la nuit (ça va être casse-gu…le à traverser en hiver quand ça glissera et qu’on ne verra rien), et les arbres sont ridicules et pas là de grandir quand tu vois ceux qui ont plusieurs années place de la Liberté et n’ont guère grandi…

      Répondre
  4. dalinele

    oui, je trouve que ça fait des places « anonymes », d’une ville à l’autre qui a fait le même choix… je n’avais pas pensé à cette symbolique, mais je crois qu’en fait c’est que je l’ai ressentie intérieurement, de façon spontanée…

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.