Alors que je lis pas mal de livres sérieux en ce moment (il faut que je vous fasse quelques articles), je me suis détendue avec un polar emprunté à la médiathèque de Poitiers avec une dizaine de livres sur l’art roman…
Le livre : Toi, ma douce introuvable, de Sandra Scoppettone, traduit de l’américain par Christophe Claro, collection Pocket policier, 2001, 316 pages, ISBN 978-2-266-10693-7 (en américain : 1994 ; 1ère édition française : 1996, édition Fleuve noir, il a été depuis réédité par Pocket avec une autre couverture).
L’histoire : New-York, au début de l’aire des messageries internet, la détective Lauren Laurano passe son temps à essayer de se connecter à un serveur qui lui délivrera ses messages… bon, disons en 1993/1994, non ? Dans son immeuble, son voisin tourne un film de fiction autour de son histoire de détective lesbienne (je ne vois pas en quoi cette précision, qui revient souvent, sert le récit…). Dans une poubelle, un cadavre est retrouvé. Un homme l’embauche par ailleurs pour retrouver son père, qu’il soupçonne d’avoir assassiné sa mère il y a fort longtemps, une actrice meurt pendant le tournage du film…
Mon avis : une histoire peu vraisemblable, mais vous passerez un agréable moment en sa compagnie. Je pense que je l’avais déjà lu il y a longtemps…