Dans le cadre du festival télérama, j’ai aussi vu La guerre est déclarée de et avec Valérie Donzelli, qui était le film d’ouverture de la semaine internationale de la critique du festival de Cannes en 2011..
L’histoire : A Paris il y a une dizaine d’années. Dans une soirée, Juliette (Valérie Donzelli) tombe amoureuse de Roméo (Jérémie Elkaïm), un vrai coup de foudre, le mariage, la naissance d’un petit garçon, Adam. Un bébé qui pleure beaucoup pendant les trois premières semaines, mais grâce aux conseils de la pédiatre, tout rentre dans l’ordre… Adam a maintenant 18 mois. Les parents achètent un appartement, commencent à le retaper, Adam entre à la crèche. Les parents sont inquiets, il ne marche toujours pas, par deux fois, il a vomi violemment son repas. Il l’emmène chez le médecin… qui lui découvre une petite asymétrie du visage -ils avaient remarqué la veille qu’il avait la joue gonflée. Juliette devait aller à Marseille pour son boulot, grâce à des amis, ils décrochent un rendez-vous pour le lendemain chez une neurologue réputée de la Timone, le soir, le verdict tombe, Adam a une grosse tumeur au cerveau… Retour à Paris, à Necker, dans l’angoisse de l’attente de l’opération. Elle est vite réalisée, neuf heures d’intervention… et la mauvaise nouvelle, la tumeur était cancéreuse. Commence alors une longue bataille contre la maladie à l’institut Gustave Roussy à Villejuif.
Mon avis : Un film qui aborde un sujet difficile, la maladie d’un jeune enfant… L’histoire vraie vécue par Valérie Donzelli et Jérémie Elkaïm, qui jouent leur propre rôle… Mais pourquoi donc avoir inséré deux parties chantées dans ce film? La seconde peut encore se justifier (dans une soirée d’anniversaire), mais la première est complètement inutile, j’étais allée voir un film, pas une comédie musicale… Alors certes, c’est assez bref (pas comme dans l’exaspérant Les bien-aimés), mais ça m’a agacée. Sinon, j’ai plutôt bien aimé ce film, même si d’un point de vue cinématographique, il ne laissera pas un souvenir impérissable…
Ce film était sélectionné pour le festival télérama 2012. Voici les dix films que j’ai vus dans cette sélection de quinze films:
- Une séparation de Asghar Farhadi,
- La piel que habito de Pedro Almodóvar
- Habemus papam de Nanni Moretti
- Le gamin au vélo des frères Dardenne
- Les neiges du Kilimandjaro de Robert Guédiguian
- Le Havre d’Aki Kaurismäki
- Il était une fois en Anatolie de Nuri Bilge Ceylan
- L’exercice de l’Etat de Pierre Schoeller
- La guerre est déclarée de Valérie Donzelli
- Les biens-aimés de Christophe Honoré
un flm qui doit prendre aux trippes…..passe une belle journée
moi j’ai bien aimé, masi c’est une epreuve difficile, bien filmé
Je voulais voir celui-là aussi mais loupé !!! Très bonne séance de clôture du Cours hier mais trop tard à minuit, – 15 ° quand on est rentré à 2 h 00 bou !!! Gros bisous et bon dimanche Véro.
Ah ça, pour ne pas laisser un souvenir impérissable…
Connaissant bien les hôpitaux avec un enfant jeune malade, je dirai même que le film m’a énervée, c’est dire.
C »est une manie, que dis-je, une mode… Donc on fait, même si çà ne sert à rien. Dommage, çà dessert sans doute ce film, sujet triste….