Un livre trouvé à la médiathèque parmi les nouvelles acquisitions.
Le livre : Le fils perdu de Olivier Barrot, NRF, éditions Gallimard, 2012, 128 pages, ISBN 9782070123247.
La quatrième de couverture : «J’ai beaucoup, longtemps, attendu un signe ou des mots de mon père. Pas très original, non plus que les substitutions inconscientes que génère cette carence. Pour moi, ce furent et ce sont les livres, les voyages, le sport, le spectacle, et la rencontre de quelques grands hommes, renommés ou non. Pour mesurer enfin qu’en me risquant à ce « tombeau d’un père », j’aspirais à la littérature, seule en mesure d’établir le lien espéré. En Alfa Romeo avec Rossellini, à Venise avec d’Ormesson, en cuisine avec Vernant, au cirque avec Tchernia. Sur scène, non loin de Labiche, de Jouvet, de Vilar, des Frères Jacques. À la NRF, dans l’ombre de Gide et de Modiano. Sur l’écran de Truffaut, de Semprún, sans oublier les pelouses du Parc des Princes et de Colombes, ni la terre battue de Roland-Garros.» Olivier Barrot.
Mon avis : je ne vous ai pas écrit de résumé du livre, juste mis la quatrième de couverture par l’auteur lui-même, Olivier Barrot, que j’apprécie plutôt pour les quelques numéros de Un livre un jour que j’ai pu voir à la télévision (je la regarde très peu…). Comme la présentation, le livre est pédant, passe d’un film à un livre en vous laissant au bord de la route si vous ne l’avez pas lu ou vu. J’ai trouvé la lecture assez insupportable, je suis quand même allée jusqu’au bout (ouf, pas trop long, une grosse centaine de pages) parce que je n’avais rien d’autre sous la main à ce moment là… sinon, j’aurai abandonné avant la cinquantième page, sans rien comprendre à sa réelle relation à son père, né Bloch (il le répète..), grand amateur de sport.
Ce livre entre dans le cadre du défi 1% de la rentrée littéraire organisé à nouveau cette année par Hérisson.