J’ai réservé ce livre à la médiathèque et ai mis un certain temps à le recevoir (longue file d’attente).
Le livre : Tuer le père de Amélie Nothomb, éditions Albin Michel, 2011, 151 pages, ISBN 978-2226229755.
L’histoire : 2010 à Paris. Amélie Nothomb rencontre deux Américains, Joe Whipp et Norman Terence, qui semblent se détester. Retour en arrière, 1995 à Reno dans le Nevada. Joe a quinze ans, il est mis dehors par sa mère, vit à l’hôtel avec 1000 dollars par mois, fait un peu de magie. Il est repéré par un homme, qui lui conseille de contacter Norman pour apprendre la magie. Ce dernier accepte de lui enseigner ses tours, l’accueille chez lui avec sa compagne, Christina, danseuse de feu. Il devient un père de substitution… jusqu’à ce que Norman vole de ses propres ailes dans les salles de jeux de Vegas.
Mon avis : vite lu, 151 pages minuscules, gros lettrage, grand interligne, le texte commence page 9, il y a au moins 25 pages blanches entre les chapitres, à peine une heure de lecture, bon, je lis plutôt vite, mais quand même, c’est plus une longue nouvelle qu’un roman. Vite lu donc, et sans doute vite oublié… une histoire sympathique, mais rien de plus, pas mal écrit, mais pas une écriture originale non plus. Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu cette auteure, je voulais ré-essayer, pas concluant. Le ventre mou de la littérature, dont je ne vous aurais pas parlé s’il n’entrait pas dans le défi 1 % rentrée littéraire 2011.
Ce livre est le dernier lu dans le cadre du défi 1 % rentrée littéraire 2011, coordonné cette année par Hérisson