Un joli heurtoir…

Un heurtoir en ferronnerie Au gré de mes promenades, je repère souvent des ferronneries… du 18e, du 19e et du début du 20e siècles, le plus souvent. Elles sont cependant trop fragiles et surtout risquent trop de vol pour les localiser… Je ne résiste quand même pas à vous montrer ce beau heurtoir, une main de femme avec une bague et un bracelet situé sous la fente de la boîte aux lettres… Dans toutes les villes et villages, vous pouvez admirer ces ferronneries, des heurtoirs, des grilles de soupirail ou de balcon, de petits loquets, de petites têtes qui retiennent les volets, etc. Ouvrez les yeux avant qu’ils ne disparaissent… et si vous pouvez entrer dans les maisons, il y a aussi des rampes d’escalier, des chenets et autres grilles de cheminées qui valent vraiment d’être admirés.

11 réflexions sur « Un joli heurtoir… »

  1. Bidouillette/Tibilisfil

    J’ai un amour, inconsidéré, pour les veilles portes, à deux on fait la paire! La porte aussi devait être belle, et rehaussée par ce poignet et main de femme………. Garde bien secrète ta découverte!!!!!!!!!!! Merci de nous la faire partager, gros bisoussssssss

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  2. michel valière

    Et puisque vous avez aimé Marie Rouanet… sachez qu’en Bitterrois, ce heurtoir, alias « marteau de porte » servait aux jeunes turbulents de faire, le soir ou la nuit, « lou Martelet ! » renseignez-vous sur ce sujet en lisant un article dans le bouquin (1977 dirigé par Le GOff et J.-C Scmitt, Le charivari », publié par l’EHESS et l’éditeur Mouton, à Paris).
    Lou Martelet est au Bitterrois ce que le « tustet » est aux Carcassonnais.
    Y a pas mystère…
    Bravo pour ces notes et photos patrimoniales.
    Cordialement vôtre.

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    1. Véronique D

      J’espère que vous allez bien! J’ai commencé du côté des hommes hier, emprunté à la médiathèque. Ils n’ont pas de livre de Joan Bodon… Bonne fin de dimanche, je file au salon du livre ancien aux salons de Blossac.

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  3. Emmanuelle

    Je suis comme toi, j’adore tous ces petits détails..; malheureusement soumis à certains appétits malveillants (chez nous un ancien bouton de sonette en cuivre relié à une petite cloche dans la maison a ainsi disparu une nuit..). On ne regarde jamais assez attentivement notre environnement familier. Bisous !

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  4. Matray

    Oui, vs avez raison, ils disparaissent progressivement dans les rues des villages et centres historiques pour faire place souvent à une porte vitrée qui amène la lumière. Je suis aussi « amoureuse » de ces petits objets d’art et viens de publier un livre en 2013 sur leur symboles. Je vous invite à venir voir mon blog http://portesetheurtoirs.overblog.com.
    Bonne continuation
    mc matray

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