En cherchant un article très sérieux dans les Cahiers de l’ouest, n° 14, novembre 1956 (une revue de poésie et de recueil ethnographique), un collègue (oui, un…) a pensé à nous… avec cette publicité pour les chaussettes Stemm, distribuées par Pingouin… « plus jamais de raccommodages »…
C’était donc la ruine pour les remailleuses professionnelles, auxquelles le musée de Civaux (à l’ombre de ma centrale nucléaire préférée, et juste en face du site antique, de l’église avec un bel ensemble de sculptures romanes et non loin de de la nécropole mérovingienne) consacre une exposition jusqu’au 18 novembre 2012, avec une démonstration de leur savoir-faire ce jour-là de 16h à 18h par Paulette Bernard, l’une de ces travailleuses à domicile, qui rattrapaient pour ces belles de toute la France les mailles filées des bas en soie… Voir les informations pratiques…
Passez donc aussi voir chez Emmanuelle / le Marquoir d’Élise, elle a retrouvé dans son grenier magique une repriseuse à découvrir ici… ou clic sur la vignette!
Je me souviens qu’il existait (il n’y a pas si longtemps encore) à Paris rue Tronchet un minuscule boutique (à peine plus grande qu’un placard !) où une dame remaillait les bas. J’imagine qu’elle a disparu maintenant ! (la boutique… la dame, je ne sais pas !)
les greniers recèlent des trésors ! bises cath
je ne savais pas qu’il y avait ça pour repriser, je pensais que c’était fait a la main! merci de la découverte. gros bisous. cathy