¹ À la Vache, il n’y a pas d’Antilope saïga ( le décompte de N. Pailhaugue in Clottes et Delporte dir. (2003). Cependant, une représentation de Saïga y est connue et provient de la couche 4. Seule la datation de ce niveau a donc été retenue dans le modèle (voir le 2^e tableau).
² La Saïga y est très dominante dans la faune (77 %).
³ Saïga présente d’après Costamagno, 2001 ; absente dans le décompte de l’étude de F. Delpech, 1983 et de la synthèse sur le site (Célérier, 1998). En première approche, la datation obtenue pour la couche 4 n’a pas été retenue dans le modèle.
⁴ D’après Peyrony et Peyrony (1938), une molaire dans la couche I’, restes très nombreux en I’’ et moins nombreux en I’’’.
⁵ Saïga présente d’après Costamagno, 2001 ; absente dans le décompte de l’étude de F. Delpech, 1983. Les dates disponibles n’ont pas été intégrées au modèle faute de pouvoir faire un lien avec le niveau qui aurait pu livrer de la Saïga. Par ailleurs, il n’y a pas de Saïga dans le décompte de faune de T. Poulain in Delluc et Delluc, 1981, p. 88-93.
⁶ Plusieurs ¹⁴C sont disponibles pour ce site, mais il n’est pas possible de faire le lien avec la couche ayant livré de l’Antilope saïga. Par ailleurs, l’Antilope saïga n’apparaît pas dans la liste de faune publiée dans Detrain et al., 1996.
⁷ Plusieurs ¹⁴C sont disponibles pour ce site, mais il n’est pas possible de faire le lien avec la couche ayant livré de l’Antilope saïga.
⁸ Plusieurs ¹⁴C sont disponibles pour ce site, mais il n’est pas possible de faire le lien avec la couche ayant livré de l’Antilope saïga.
⁹ D’après Saint-Périer (1926), 1 métacarpien dans le niveau B.
¹⁰ D’après Saint-Périer (1927), pas de Saïga dans les niveaux A et B, 1 humérus et 1 phalange dans le niveau C.
¹¹ Saïga présente d’après Costamagno, 2001 ; absente dans le décompte de l’étude de Delpech, 1983. La date disponible pour la couche 1 n’a pas été intégrée au modèle. M. Lenoir (1979) précise qu’il n’y a pas de Saïga à Faustin.
¹² D’après M. Lenoir (1979, p. 408), la Saïga est présente dans les collections Ferrier et de l’abbé Labrie.
¹³ Saïga présente d’après Costamagno, 2001 ; absente dans le décompte de l’étude de Delpech, 1983. J.-P. Rigaud (1978, p. 646) précise qu’il n’y a pas de Saïga sur le site, information confirmée dans Bordes et Sonneville-Bordes, 1979.
¹⁴ Les restes supposés d’Antilope saïga de la grotte des Rideaux à Lespugue ont été déterminés comme étant de l’Isard par M. Patou-Mathis (C. San Juan, comm. pers.).
¹⁵ M. Lenoir (1979, p. 410) précise que la Saïga est présente dans les couches 1 à 7, mais est moins abondante dans la couche 3.
¹⁶ Plusieurs ¹⁴C sont disponibles pour ce site, mais il n’est pas possible de faire le lien avec la couche ayant livré de l’Antilope saïga.
¹⁷ Saïga présente d’après Costamagno, 2001 ; absente dans le décompte de l’étude de Delpech, 1983 et de Delpech in Arambourou, 1978 p. 110-113. F. Delpech précise (1979) que la Saïga est absente du site de Duruthy. En première approche, les datations obtenues pour les couches 3, 4 et 5, couches citées par Costamagno (2001) pour avoir de la Saïga n’ont pas été retenues dans le modèle mais pourront être ajoutées après vérification de cette information.
¹⁹ Saïga présente sous la forme d’une seule molaire inférieure.
²⁰ L. Coulonges (1935, p. 4) signale de l’Antilope saïga très rare dans la couche 2, alors que F. Delpech (1983, p. 210) la localise dans la couche IV.
²¹ L. Coulonges (1935, p. 34) signale de l’Antilope saïga très rare dans le niveau 4 (Magdalénien supérieur), alors que F. Delpech (1983 : 210) la localise dans la couche 14. L. Coulonges précise qu’il n’y a pas de Saïga dans le niveau 2.
²² G. Marsan (1979, p. 670) mentionne l’absence de Saïga à Saint-Michel.
²³ R. et S. de Saint-Périer signalent une première phalange de Saïga trouvée par M. Boule dans la couche 1 de la salle Saint-Martin (1930, p. 22-23), mais aucun dans la Grande Salle (1936).
²⁴ Une datation est disponible pour ce site, mais il n’est pas possible de faire le lien avec la couche ayant livré de l’Antilope saïga.
²⁵ Notice rédigée par H. Delporte. Référence de l’objet : MAN 83348, aalle Monique, couche 4, carré 55, nº 438 (?), Os, L. 131 ; l. 20 ; ép. 11,5.
²⁶ Plusieurs ¹⁴C sont disponibles pour ce site, mais il n’est pas possible de faire le lien avec la couche ayant livré la représentation d’Antilope saïga.
²⁷ Communication personnelle de J.-C. Castel sur ce site : “ L’Igue du Gral est un piège naturel qui renferme une importante stratigraphie dont le sommet est actuellement en cours de fouille sous la direction de J.-C. Castel et M.-P. Coumont. La faune est dominée par le renne, le cheval et le bison et, dans certains niveaux, le loup, lle cerf, les lagomorphes, le mammouth, le bouquetin et l’antilope saïga. Une demi-douzaine d’os d’antilope saïga découverts lors de la dernière campagne de fouille, en bordure de la zone de fouile et à la base de la séquence. Il est donc probable que la reprise des fouilles amènera d’autres découvertes. Six os sont attribués avec certitude à la saïga : première molaire inférieure, un métacarpien, un calcanéum, un grand cunéiiforme, un métatarsien, une première phalange ; un pyramidal plus abimé pourrait se joindre à ce lot si l’absence du chamois se confirme dans le niveau archéologique correspondant. La datation directe de l’un de ces os est en cours. D’après le résultat des autres datations effectuées sur le site, elle devrait se situer entre 13 360 et 14 460 BP. Cette mention de l’Antilope saïga en plein coeur du Quercy est la première. Jusqu’à lors elle était connue sur ses marges, à Combe-Cullier (Lacave, Lot), dans le Lot-et-Garonne (Le Martinet et Le Roc Allan) ainsi qu’à Bruniquel (Tarn-et-Garonne). Les différentes découvertes, en général anciennes, nécessiteraient sans doute une révision, la présence de quelques restes dans un site d’habitat ne signifiant pas forcément une présence de l’animal dans le proche environnement ”.